Blagues Bretonnes
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Blagues Bretonnes
Un médecin recommande, à son ami bigouden, de faire du sport.
- Ben ! je fais déjà du sport, je fais "les bars parallèles”.
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Deux bigoudens sur le TITANIC lors de la nuit du naufrage :
- On est foutu, on est foutu ! (en pleurant).
L'autre :
- Arrête donc ! Ce n'est pas la peine de pleurer quand même ! Et pourquoi tu pleures ?
> > > - Le bateau est en train de couler !
- Mais alors, c’est pas le tien !!
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Dictons de marins bretons :
- Horizon pas net, reste à la buvette
- Qui trop écoute la météo, passe sa vie au bistrot
- Le chien aboie, les cars à Vannes passent
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Les blagues bretonnes :
- En Bretagne, c'est facile de savoir si l'été est enfin là : la pluie devient plus chaude.
- Pourquoi les bretons ont choisi "BZH" comme logo ? Parce que ça signifie : Bretagne Zone Humide.
- Combien y a-t-il de saisons en Bretagne ?
- Deux : La grande saison des petites pluies et la petite saison des grandes pluies.
On dit aussi : Il y a l'hiver et le mois d'août.
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Une autre :
Le mari, il fait quoi déjà ?
- Il travaille à l'Arsenal de Brest.
Et la femme ?
- Elle ne fait rien non plus !
furax- hors classe
- Nombre de messages : 3431
Age : 67
Localisation : Neustrie & Septimanie
Loisirs : TIR
Date d'inscription : 29/12/2006
Re: Blagues Bretonnes
Un homme d'affaire monte à bord d'un train et se retrouve assis à côté d'une superbe femme. Il remarque qu'elle est en train de lire un livre sur les statistiques sexuelles. Il l'interroge sur ce sujet, et elle répond :
- C'est un livre très intéressant. Il paraît que les Indiens sont ceux dont le pénis est le plus long, et les Bretons ceux qui savent le mieux s'en servir. Au fait, je m'appelle Julie, et vous ?
- Geronimo Lagadec! ravi de vous rencontrer.
- C'est un livre très intéressant. Il paraît que les Indiens sont ceux dont le pénis est le plus long, et les Bretons ceux qui savent le mieux s'en servir. Au fait, je m'appelle Julie, et vous ?
- Geronimo Lagadec! ravi de vous rencontrer.
sonic- hors classe
- Nombre de messages : 4059
Age : 99
Localisation : Phare Ouest
Loisirs : Broderie, Yoga, tricot
Date d'inscription : 29/12/2014
Re: Blagues Bretonnes
- Heureusement que Jésus n'est pas mort dans son lit sinon il y aurait un matelas en granit à tous les carrefours de Bretagne.
- Qui pisse contre le vent se rince les dents.
-Lorsque les Américains ont décidé de faire la guerre en Irak, ils n'étaient pas seuls...
Saddam Hussein buvait tranquillement un apéritif dans sa véranda lorsque le téléphone sonna.
- Bonjour, M. Hussein. Ici c'est Yann, du FLB-ARB. Nous avons décidé de vous déclarer la guerre.
- Soyez raisonnable, Yann, répondit Saddam Hussein en riant. Vous les Bretons, vous n'avez aucune chance. J'ai un millier d'avions de chasse, des dizaines de bombardiers. Je peux brûler la Bretagne au napalm si je veux et quand je veux...
- OK, attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- Vous êtes toujours là, M. Hussein ? Bon, nous maintenons notre déclaration de guerre. Pour brûler la Bretagne, avec le temps qu'il fait en ce moment, vous n'y arriverez pas.
- Mais j'ai des tanks et des automitrailleuses, par centaines. Et vous ?
- OK, attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- En ce qui concerne les véhicules, j'ai une 205, et mes amis ont aussi des voitures et même des motos. Finalement, vos tanks ne nous font pas peur. On maintient notre déclaration de guerre.
- Mais enfin, réfléchissez ! Vous êtes combien de combattants ?
- Une bonne dizaine, rien qu'en comptant ceux de Dirinon, de Pencran et de Loperhet. Et en appelant ceux de Landerneau et ceux de Plougastel, on peut se retrouver à cinquante vite fait.
- Moi, répond Saddam Hussein, j'ai plus de cinquante mille soldats bien entraînés, armés jusqu'aux dents.
- OK, attendez deux secondes, M. Hussein, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- Vous êtes toujours là, M. Hussein ? Bon, nous avons discuté, et nous avons pris une décision. Finalement, nous ne vous déclarons pas la guerre.
- Très bien... Et qu'est ce qui vous a fait changer d'avis ? demande alors Saddam Hussein.
- Eh bien, ce sont vos cinquante mille soldats... Tout compte fait, nous n'avons pas les moyens d'entretenir autant de prisonniers.
- Qui pisse contre le vent se rince les dents.
-Lorsque les Américains ont décidé de faire la guerre en Irak, ils n'étaient pas seuls...
Saddam Hussein buvait tranquillement un apéritif dans sa véranda lorsque le téléphone sonna.
- Bonjour, M. Hussein. Ici c'est Yann, du FLB-ARB. Nous avons décidé de vous déclarer la guerre.
- Soyez raisonnable, Yann, répondit Saddam Hussein en riant. Vous les Bretons, vous n'avez aucune chance. J'ai un millier d'avions de chasse, des dizaines de bombardiers. Je peux brûler la Bretagne au napalm si je veux et quand je veux...
- OK, attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- Vous êtes toujours là, M. Hussein ? Bon, nous maintenons notre déclaration de guerre. Pour brûler la Bretagne, avec le temps qu'il fait en ce moment, vous n'y arriverez pas.
- Mais j'ai des tanks et des automitrailleuses, par centaines. Et vous ?
- OK, attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- En ce qui concerne les véhicules, j'ai une 205, et mes amis ont aussi des voitures et même des motos. Finalement, vos tanks ne nous font pas peur. On maintient notre déclaration de guerre.
- Mais enfin, réfléchissez ! Vous êtes combien de combattants ?
- Une bonne dizaine, rien qu'en comptant ceux de Dirinon, de Pencran et de Loperhet. Et en appelant ceux de Landerneau et ceux de Plougastel, on peut se retrouver à cinquante vite fait.
- Moi, répond Saddam Hussein, j'ai plus de cinquante mille soldats bien entraînés, armés jusqu'aux dents.
- OK, attendez deux secondes, M. Hussein, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient :
- Vous êtes toujours là, M. Hussein ? Bon, nous avons discuté, et nous avons pris une décision. Finalement, nous ne vous déclarons pas la guerre.
- Très bien... Et qu'est ce qui vous a fait changer d'avis ? demande alors Saddam Hussein.
- Eh bien, ce sont vos cinquante mille soldats... Tout compte fait, nous n'avons pas les moyens d'entretenir autant de prisonniers.
Monsieur N.- brigadier-general
- Nombre de messages : 1015
Age : 65
Localisation : Les Invalides
Emploi : Empereur en retraite
Loisirs : La conquête de l'Europe
Date d'inscription : 04/12/2006
ragnar- hors classe
- Nombre de messages : 4866
Age : 74
Localisation : Rachel
Date d'inscription : 04/12/2006
Re: Blagues Bretonnes
Pourquoi, il y a t il, depuis toujours, des problèmes d’alcoolisme a Rennes ???
Ben, vu que les rivières s’appellent " La Rance " et "La Vilaine" , ça incite pas a boire de l'eau ...
Ben, vu que les rivières s’appellent " La Rance " et "La Vilaine" , ça incite pas a boire de l'eau ...
trappeur- sergeant-major
- Nombre de messages : 211
Age : 52
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 08/02/2013
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