transport par le métro

si j'ai bien compris quant on est en voiture, l'arme doit être dans le coffre et les munitions ailleurs,

mais quant on prend les transports en commun, métro parisien par exemple, comment fait on

honhon a écrit:si j'ai bien compris quant on est en voiture, l'arme doit être dans le coffre et les munitions ailleurs,

mais quant on prend les transports en commun, métro parisien par exemple, comment fait on

pour le transport d'une arme et des munitions
Si une autorisation est accordée, une arme de catégorie B, C ou D doit être transportée de manière à ne pas être immédiatement utilisable
soit en recourant à un dispositif technique,
soit en démontant une de ses pièces de sécurité.

rien ne dit que l'arme doit être dans le coffre et les muns ailleurs
pour le métro, même principe:
dans un sac ou mallette, arme avec verrou de pontet ou pièce démontée (canon ou barillet par exemple) et munitions
et bien sûr licence valide à présenter en cas de contrôle

Il faut réfléchir et se mettre dans la peau de votre avocat. Je fais comme ça tous les jours, j'imagine ce que dirais un baveux devant mes arguments de flics.
Du coup pour ta question, je prends les devants d'un éventuel contrôle, et je transporte l'arme avec verrou de pontet dans sa boite verrouillée. Le canon dans ma poche (et oui en cas de perte du sac à dos, l'utilisation de l'arme qui s'y trouve est rendu difficile, pas impossible sur le long terme mais dans l'instant si) Les munitions dans une autre boite verrouillée dans le sac. Mes autos en poche, et une copie dans chaque boite.
Je prends une photo de tout ce bazar dans mon sac à dos.
Avec tout ça il est impossible de me coller vouloir transgresser la Loi de quelque manière que ce soit.
Et là camembert M. L'agent.

coyotedu10 a écrit:Il faut réfléchir et se mettre dans la peau de votre avocat. Je fais comme ça tous les jours, j'imagine ce que dirais un baveux devant mes arguments de flics.
Du coup pour ta question, je prends les devants d'un éventuel contrôle, et je transporte l'arme avec verrou de pontet dans sa boite verrouillée. Le canon dans ma poche (et oui en cas de perte du sac à dos, l'utilisation de l'arme qui s'y trouve est rendu difficile, pas impossible sur le long terme mais dans l'instant si) Les munitions dans une autre boite verrouillée dans le sac. Mes autos en poche, et une copie dans chaque boite.
Je prends une photo de tout ce bazar dans mon sac à dos.
Avec tout ça il est impossible de me coller vouloir transgresser la Loi de quelque manière que ce soit.
Et là camembert M. L'agent.

C'est une bonne solution mine de rien, la en effet tu prouves ta bonne foi... maintes fois! Tu as raison d'anticiper le pire.

Le mieux tu demenages!!!!!


chez nous

et surtout dans un sac discret

le canon a part est une très bonne chose
en cas de "perte " du sac

il me semble que le reglement interieur de la ratp n'autorise le transport des armes que dans une mallette verrouillé. un gars de mon stand avait eu des problèmes avec le gspr...

coyotedu10 a écrit:Le canon dans ma poche

Salut

C'est pas à ce moment là que le flic te dira que le canon dans la poche, c'est un port illégal d'élément d'arme classé ?

Que répondra l'avocat ?

j'ai bien compris le mode de transport,

pourtant en lisant je m'aperçois que l'on pourrait stoker armes et munitions dans le même coffre, ai je bien compris ?

J'ai cru comprendre que durant l'État d'urgence le transport d'armes était interdit dans les transports en commun . Un forumer le mentionnait en disant que cela venait des services de police, mais il est vrai que je n'ai rien vu d'écrit à ce propos.

honhon a écrit:j'ai bien compris le mode de transport,

pourtant en lisant je m'aperçois que l'on pourrait stoker armes et munitions dans le même coffre, ai je bien compris ?

pour le stockage
tu peux stocker armes et munitions en B dans le même coffre
contrairement aux munitions en C qui doivent être stockées à part de l'arme

Un étui a guitare serait idéal pour ne pas attirer la convoitise.

bichon89 a écrit:Le mieux tu demenages!!!!!
       

 chez nous

merci de me donner l'asile politique, mais ma famille, mes amis, mon travail que j'aime sont en région parisienne, je n'envisage pas de les quitter.