Python.......
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Re: Python.......
cdelplace a écrit:Salut,
Pour les Pythons bronzés, je ne pense pas qu'il y ait eu deux versions, "noir" et "bleu" : ils bénéficiaient tous du même bronzage de haute qualité "Colt Royal Blue", appliqué après un polissage parfait. A la même époque (du début), il y avait le choix avec une finition nickelée (brillante). Par la suite, les versions nickelées ont été remplacées par des versions "inox", disponibles en deux finitions (satinée et brillante) (source : https://en.wikipedia.org/wiki/Colt_Python)
Il y a 2 versions la bronzé noir et le royal blue
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
Quelles sont tes sources ?adrien1980 a écrit:Il y a 2 versions la bronzé noir et le royal blue
cdelplace- first lieutenant
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Re: Python.......
Les sources de la vie j'ai eu un royal blue un ami avait un noir aucune similitude entre sont bronzage et le miens! Donc il y a bien 2 finition de bronzage sinon comment explique tu que le miens avec des reflets bleuté et l'autre était noir noir!?!
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
la premiere photo a gauche..
https://fr.wikipedia.org/wiki/Colt_Python
https://fr.wikipedia.org/wiki/Colt_Python
redbull- brigadier-general
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Re: Python.......
Un Python restera toujours une machine à rêve, j'en voulais étant gosse, j'en ai vu passer pas mal, essayé quelque uns il y a de nombreuses années...mais jamais possédé...ça m'aurait trop fait chier de le laisser au coffre par peur de péter une pièce primordiale. Pas un ressort, ça se trouve toujours en bidouillant ou au pire ça se fabrique, mais structurellement, il y a toujours un risque.
Rien à dire, un Python, c'est beau. Il n'y a que les S&W classiques au look vintage qui se rapprochent du design des Colt.
Rien à dire, un Python, c'est beau. Il n'y a que les S&W classiques au look vintage qui se rapprochent du design des Colt.
CzSTR- brigadier-general
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Re: Python.......
c'est surtout le mythe colt. (et the walking thead)
tu prends un 686 et a part la bande ventilée...
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redbull- brigadier-general
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Re: Python.......
Alors il doit s'agir d'un rebronzage... Pour ce qui est des sources de la vie, j'ai acheté mon Python (un 4 pouces bronzé) vers 1979, époque où il n'existait encore que les deux finitions d'origine : le bronzé "Royal Blue", et le nickelé. Et j'étais parfaitement au courant de la production mondiale grâce à une excellente publication de Raymond Caranta (https://www.armes-ufa.com/spip.php?breve418), "L'encyclopédie permanente des armes Guillaume Tell" - aujourd'hui disparue - qui reprenait tous les ans toute la production mondiale des armes à feu (avant de déménager, j'avais presque tous les numéros). Nulle part il n'est fait mention de deux qualités de bronzage pour les Colt Pythons...adrien1980 a écrit:Les sources de la vie j'ai eu un royal blue un ami avait un noir aucune similitude entre sont bronzage et le miens! Donc il y a bien 2 finition de bronzage sinon comment explique tu que le miens avec des reflets bleuté et l'autre était noir noir!?!
cdelplace- first lieutenant
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Re: Python.......
https://www.handgunsmag.com/editorial/colt_python_complete_history/138916
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Re: Python.......
cdelplace a écrit:Alors il doit s'agir d'un rebronzage... Pour ce qui est des sources de la vie, j'ai acheté mon Python (un 4 pouces bronzé) vers 1979, époque où il n'existait encore que les deux finitions d'origine : le bronzé "Royal Blue", et le nickelé. Et j'étais parfaitement au courant de la production mondiale grâce à une excellente publication de Raymond Caranta (https://www.armes-ufa.com/spip.php?breve418), "L'encyclopédie permanente des armes Guillaume Tell" - aujourd'hui disparue - qui reprenait tous les ans toute la production mondiale des armes à feu (avant de déménager, j'avais presque tous les numéros). Nulle part il n'est fait mention de deux qualités de bronzage pour les Colt Pythons...adrien1980 a écrit:Les sources de la vie j'ai eu un royal blue un ami avait un noir aucune similitude entre sont bronzage et le miens! Donc il y a bien 2 finition de bronzage sinon comment explique tu que le miens avec des reflets bleuté et l'autre était noir noir!?!
Punaise il y a un paquet de rebronzé alors car sur paaf2 il y a beaucoup de Noir noir , il y a donc eu une vague générale de rebronzage
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
C'est pourtant simple, les premiers bronzés sont nommés "Royal blue".
Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
Deux Blue :
Et un des derniers produits, "unfired" comme disent les ricains, avec encore sa cire de protection :
Un de 1986 le jubilé des 150 ans de Colt, en Royal Blue :
D'excellents canons, probablement les meilleurs, mais faut pas venir au stand avec une canne blanche et Kiki le labrador ....
Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
Deux Blue :
Et un des derniers produits, "unfired" comme disent les ricains, avec encore sa cire de protection :
Un de 1986 le jubilé des 150 ans de Colt, en Royal Blue :
D'excellents canons, probablement les meilleurs, mais faut pas venir au stand avec une canne blanche et Kiki le labrador ....
Arthur67- lieutenant-general
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Re: Python.......
Pitain ils sont vraiment beaux ces colts, quel dommage que cette marque et fermée
Dernière édition par phil159 le Lun 2 Déc 2019 - 19:01, édité 1 fois
phil159- major
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Re: Python.......
Arthur67 a écrit:C'est pourtant simple, les premiers bronzés sont nommés "Royal blue".
Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
Deux Blue :
Et un des derniers produits, "unfired" comme disent les ricains, avec encore sa cire de protection :
Un de 1986 le jubilé des 150 ans de Colt, en Royal Blue :
D'excellents canons, probablement les meilleurs, mais faut pas venir au stand avec une canne blanche et Kiki le labrador ....
Merci je ne suis donc pas fou il y a bien 2 type de bronzage sur les python
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
Je vous met la traduction du lien de REDBULL qui est très instructif.
Traduction gogol off course !!
Le .357 Magnum s’était déjà révélé précis, puissant et, comme beaucoup le découvriront bientôt, bien plus agréable à photographier que le Magnum .44, avec moins de souffle au canon, moins de bruit et moins de recul. En outre, le Colt Python pourrait également chambrer le plus modéré .38 Special.
(Gauche) Un rare Python nickelé de 6 po gravé en usine, recouvert d'un «D» intégral et muni de poignées en ivoire du marché secondaire. Malheureusement, beaucoup de ces poignées en ivoire ont fini par se fissurer à la jonction où elles ont rejoint le cadre, en raison du recul du magnum .357. (À droite) Le Python Hunter, mis sur le marché en 1981, comprenait un canon de 8 pouces, une lunette de visée 2X Leupold, des poignées Pachmayr, une tige de nettoyage en acier inoxydable et des accessoires, le tout dans un boîtier en aluminium Halburton. Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Cependant, jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, le seul Magnum .357 offert par Colt faisait partie de l'armée à action unique, dont 525 canons seulement avaient été fabriqués dans ce calibre. Fait intéressant, lorsque le SAA a été réintroduit en 1955, il était en .45 Colt et .38 Special - et non en .357 Magnum.
Ce n'est qu'en 1953 que Colt a publié sa première action double moderne dans ce calibre, un modèle relativement rare appelé simplement le Colt .357 Magnum, qui est resté dans la ligne jusqu'en 1961 avec un total de seulement 15 000 armes fabriquées. De plus, en 1954, un an seulement avant l'apparition des Pythons, Colt introduisit le .357 Magnum Trooper, qui fut abandonné en 1969. Ainsi, en 1954, avec seulement deux revolvers pour ce qui était alors la cartouche la plus populaire du pays Colt savait clairement qu’il fallait faire quelque chose de dramatique pour capter l’attention du public.
"Je travaillais avec Al Gunther, qui était directeur de l'usine et qui supervisait toute la production", se souvient Al De John, qui a commencé chez Colt en 1946 en tant qu'armurier, a ensuite été promu au poste de responsable des services et est par la suite devenu directeur du Colt Custom Shop. avant sa retraite dans les années 1990.
À l'époque, Al et quelques-uns des pouvoirs qui étaient à la recherche d'un fusil moderne capable de manipuler le Magnum .357. À l'époque, vous étiez soit un revolver, soit un homme semi-automatique. Vous ne maîtrisiez jamais les deux. Je travaillais sur des revolvers, donc J'ai proposé que nous prenions le modèle de match de l'officier et que nous le renforçons. "
L'auteur vise avec son Python, un pistolet connu pour son action de détente à double action tout en douceur, ainsi que pour son action à simple action. En outre, le poids de 38 onces de cette version de 4 pouces de baril le rend extrêmement bien équilibré. Photo de l'auteur.
Al n'aurait pas pu choisir une meilleure arme sur laquelle baser le .357 Mag. Le modèle proposé par l'officier était encore relativement nouveau, puisqu'il avait été introduit en 1952 en tant que version cible de la police officielle, la plus populaire .38 Special dans l'écurie Colt. "En fait," se souvient Al, "la plupart des armes à feu utilisées par la police à cette époque étaient des revolvers de la police officielle".
C’était vrai depuis des décennies, comme le confirmait le catalogue Colt du 1 er janvier 1934: «Le revolver officiel de la police Colt est sans conteste le meilleur bras de police du monde. Ce populaire revolver de service est réputé pour sa robustesse et sa capacité à se tenir debout les abus graves qu’il reçoit aux côtés d’agents de police du monde entier ".
La police officielle et son homologue à vue réglable, le Model Match de l'officier, disposaient d'un système de verrouillage solide mais lisse qui combinait les meilleures caractéristiques (bien que plus réduites) du robuste revolver New Service. Et même s’il était utilisé à la fois en .22 rimfire et en .38 Special, les modèles de match officiel Police et Officier étaient construits sur des cadres plus grands de calibre .41 afin de mieux absorber le recul.
"J'ai donc commencé à bricoler avec le modèle de correspondance de l'officier spécial .38", dit Al. "Cela signifiait renforcer le cylindre et le cadre, y compris la sangle supérieure. Nous avons eu beaucoup de problèmes avec le retour de flamme et les coups de feu. Lors de nos premiers essais sur le nouveau canon, la pression excessive du .357 Magnum a continué de marteler la plaque de recul, Nous avons également éliminé la plaque de recul en plaçant le trou du percuteur directement dans le cadre et en renforçant la sangle supérieure. Nous avons également renforcé la grue pour que le pistolet soit encore plus stable. plus forte."
Un Python extrêmement rare avec un canon de 3 pouces (en haut), comparé à une version nickelée dans le canon plus communément trouvé. Notez les poignées plus anciennes, de style police officielle, sur les deux pistolets. Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Le tonneau musclé, encore plus épais grâce à une tige d'éjecteur entièrement enveloppée et surmontée d'une côte ventilée, constitue un autre développement plus spectaculaire. Selon de nombreux auteurs d'armes à feu de l'époque, qui auraient absorbé avec enthousiasme la publicité de Colt, cette côte était censée dissiper le mirage optique qui obscurcissait la vue généré par les vagues de chaleur provoquées par le tir de la cartouche "chaude" .357. Mais quiconque a tiré avec un Magnum .357 non ventilé sait que les réfractions thermiques sont à peine assez intenses pour gêner la visée. En vérité, la raison de la côte ventilée était purement esthétique.
"Nous nous réunissions pour parler de ce que nous voulions faire [avec la conception du Python]", se souvient Al. "C'est peut-être Al Gunther qui a suggéré pour la première fois de placer une nervure d'aération sur le dessus du canon. Cela n'a rien fait, mais ça avait l'air bien. Je me souviens aussi qu'il y avait eu une controverse sur l'apparence et la finition du museau "Al continue.
"Chez Colt, nous avions toujours eu un rayon sur le museau de nos pistolets, mais avec le Python, nous avons fini par avoir nos meilleurs groupes avec un museau plat qui avait un chanfrein. Ils avaient l'habitude de polir cette surface plane du museau Pour que le métal contraste avec le corps bleui. Mais ce polissage laissait un petit «plat» qui produisait une illusion d'optique et donnait au museau un aspect asymétrique au lieu de rond, ce qui était vraiment le cas. Alors, finalement, j'ai éliminé le vernis. et laissez [le museau] bleu pour qu'il ait l'air normal. "
Pour ce qui est de nommer le nouveau .357 de Colt, Al déclare simplement: "[La société Colt est devenue une pépite pour une raison quelconque", "rappelant évidemment le premier baptême du Cobra .38 Special par Colt en 1950. Ainsi, le Python devint le deuxième serpentin. moniker dans la gamme de Colt. Mais, mis à part les images épaisses et glissantes, il en résulta un magnum sophistiqué, aussi précis que beau.
Initialement fabriqué uniquement avec un canon de 6 pouces, un 4 pouces plus compact est arrivé peu de temps après. Plus tard, un baril de 2 1/2 pouces a été introduit, "qui était le canon le plus court que nous puissions fabriquer et qui comportait encore un évent sur la côte", se souvient Al.
Le Colt Python comportait une vue arrière Accro à contour blanc entièrement ajustable et une rampe avant de 1/8 de pouce avec incrustation rouge. Un éperon large, un marteau à damier et une gâchette courbée et rainurée offraient un contrôle maximal et un temps de verrouillage rapide.
Au départ, seule une finition bleuie était proposée, mais, comme il se doit, ce n’était pas une finition bleue.
"Le Python était la première fois que nous utilisions la finition Colt Royal Blue", déclare Al. "Cela a été provoqué parce que nous avons poli le pistolet avec autant de douceur et de brio que pour le nickel, qui était le vernis le plus brillant que nous puissions avoir. Mais ensuite, nous avons bleui le pistolet à la place."
Pas étonnant pour ceux qui ont déjà tiré ou même manipulé un Python, le polissage était la marque du magnum du milieu du siècle de Colt, non seulement pour l'extérieur mais aussi pour l'intérieur. En fait, le Python était aussi proche d'un pistolet personnalisé fabriqué en série que n'importe quel fusil d'usine jamais créé.
"Nous avons dû affiner toutes les pièces, y compris à l'intérieur des plaques latérales", se souvient Al. "C'était la seule arme sur laquelle nous avons fait cela. Nous avons tout poli, y compris à l'intérieur de la jambe de force du marteau. Nous ne pouvions travailler que sur deux personnes pour travailler sur le Python, moi-même et Don Bedford."
En effet, en raison de toutes les opérations complexes de polissage et d’ajustement à la main, Colt n’utilisait que ses travailleurs les plus qualifiés pour le Python et l’Armée à action unique. En conséquence, la force de détente était plus légère sur le Python que même dans le Model Match de l'officier et allait d'un minimum de 2 3/4 livres à un maximum de 3 1/2 livres. À titre de comparaison, la force de frappe de la police officielle était de 4 1/2 livres.
"Habituellement, un ouvrier de Colt serait capable de manipuler quatre armes à feu en moyenne une heure," dit Al, "mais pour le Python, en raison de tout le travail manuel supplémentaire que cela impliquait, il fallait en moyenne trois armes à feu par heure pour construire et ajuster Nous avons ensuite effectué des tests de tir pour vérifier l'exactitude et l'extraction du pistolet. Si le pistolet n'était pas assez précis, nous devions le rapporter à l'usine et le retravailler le lendemain matin, ce qui signifiait nous ne pouvions pas commencer avec d'autres armes jusqu'à ce que celle-ci soit réparée. "
Une comparaison unique entre un Python à quatre chiffres de production récente, un barillet de 6 pouces et des poignées entièrement quadrillées (en haut) et un pistolet à cinq chiffres plus récent, doté d'un corps de 4 pouces et de poignées lisses (en bas). Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Toute cette attention particulière portée aux détails a porté ses fruits. Initialement au prix de 125 $ - le même que celui de la Single Action Army réintroduite -, le Python était un gagnant immédiat. Des gravures décoratives étaient également offertes, à partir de 245 $ et à partir de là. "Ce pistolet ne peut être fabriqué que par Colt", a salué la publicité d'introduction d'une page de la société. "Un nombre limité de connaisseurs d'armes à feu marquera l'année 1955 comme une année distinguée de l'histoire des armes de poing, avec l'achat de ce chef-d'œuvre de Colt."
En effet, l'expression "nombre limité" était la phrase clé, puisqu'un seul Python avait été produit cette première année. Et à la fin de 1956, seulement 300 armes à feu avaient été livrées à un public très impatient. Cependant, en 1969, un peu plus de 100 000 Pythons avaient été méticuleusement construits - preuve d’un héritage en devenir. Mais au début, tout ne s'est pas bien passé.
"Nous avions de gros problèmes avec le Python lorsque nous tirions avec des balles sans gaine", se souvient Al. "Parce que la cartouche était très chaude, le plomb pur a littéralement fondu dans le canon. Nous avons donc recommandé que seules des balles à double enveloppe soient tirées en Python, ce qui a pratiquement résolu le problème."
En outre, la conception de la poignée pleine largeur, entièrement en damier sur les premiers pistolets de production était trop épaisse,
interférant avec l'éjection de la coquille. La solution consistait à éclaircir le dessus des poignées en damier avec un pétoncle lisse et légèrement concassé - ce que beaucoup qualifiaient de thumbrest - afin de permettre l’extraction de la coquille. Ceci, à son tour, donna au pistolet un look encore plus raffiné. Plus tard, certains Pythons seraient commandés sur mesure avec des poignées plus petites qui suivaient la configuration de police officielle de style plus ancien.
Au cours de sa longue vie, le Colt Python a subi de nombreux changements cosmétiques. Peu de temps après l'introduction initiale du Python, une finition en nickel a été ajoutée. Ensemble avec Royal Blue, elles sont restées les deux principales finitions d'usine. Un petit nombre de pythons ont été plaqués or et argent pour divers commémoratifs et ordres spéciaux au fil des ans.
En 1981, Coltguard, un placage breveté résistant aux intempéries et résistant aux intempéries, était également disponible. Le Python en acier inoxydable a été réintroduit en 1984, suivi en 1985 par le Python Ultimate en acier inoxydable super poli, qui était équipé d’un viseur Elliason.
Al De John se souvient que la société avait dû acheter de nouveaux outils pour créer ces pistolets en acier inoxydable, car la conception complexe du Python avait complètement endommagé les surfaces de coupe des machines.
Un Python de 8 pouces a été introduit en 1980. Il était doublement unique en son genre. En plus du .357 Magnum, il était également réservé pour le .38 Special - à ne pas confondre avec le plus petit Diamondback de même look du même Python. . L'année suivante, le Colt Python Hunter était dévoilé. Il s'agissait en fait d'un Python de 8 pouces muni de poignées Pachmayr, surmonté d'une lunette de visée 2X Leupold et emballé dans un boîtier en aluminium Halburton avec une tige de nettoyage et un ensemble d'outils.
En 1982, la popularité du Python de 8 pouces était évidente grâce à la Silhouette, livrée avec un oscilloscope Leupold et des poignées Pachmayr, toutes logées dans un boîtier noir avec garniture en nickel. Il y avait aussi une série Ten Pointer de 8 pouces avec une lunette de visée 3X Burris, des poignées en bois, un jeu supplémentaire de poignées en néoprène et un étui de transport.
En 1997, la fabrication du Python a été transférée de la chaîne de montage principale au Colt Custom Shop. Le pistolet a été proposé en acier inoxydable très poli et mat et a été renommé Colt Python Elite. Il est resté en production limitée, par intermittence, jusqu'en 2004.
Bien que le Python ne soit plus catalogué, techniquement, le premier ministre .357 Magnum de Colt n’est jamais sorti de sa production. Même en 2004, selon Joe Canali, responsable des ventes Colt Custom Shop, un nombre limité de pythons ont été fabriqués. Et cette année - peut-être à la lecture de cet article -, à l’occasion de son 50e anniversaire, un Python spécialement gravé sera produit, ce qui équivaut au cycle de production de sa première année de fabrication. En adhérant à la tradition, vous pouvez être sûr que seuls les meilleurs artisans de Colt seront autorisés à assembler ce pistolet.
Traduction gogol off course !!
Le .357 Magnum s’était déjà révélé précis, puissant et, comme beaucoup le découvriront bientôt, bien plus agréable à photographier que le Magnum .44, avec moins de souffle au canon, moins de bruit et moins de recul. En outre, le Colt Python pourrait également chambrer le plus modéré .38 Special.
(Gauche) Un rare Python nickelé de 6 po gravé en usine, recouvert d'un «D» intégral et muni de poignées en ivoire du marché secondaire. Malheureusement, beaucoup de ces poignées en ivoire ont fini par se fissurer à la jonction où elles ont rejoint le cadre, en raison du recul du magnum .357. (À droite) Le Python Hunter, mis sur le marché en 1981, comprenait un canon de 8 pouces, une lunette de visée 2X Leupold, des poignées Pachmayr, une tige de nettoyage en acier inoxydable et des accessoires, le tout dans un boîtier en aluminium Halburton. Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Cependant, jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, le seul Magnum .357 offert par Colt faisait partie de l'armée à action unique, dont 525 canons seulement avaient été fabriqués dans ce calibre. Fait intéressant, lorsque le SAA a été réintroduit en 1955, il était en .45 Colt et .38 Special - et non en .357 Magnum.
Ce n'est qu'en 1953 que Colt a publié sa première action double moderne dans ce calibre, un modèle relativement rare appelé simplement le Colt .357 Magnum, qui est resté dans la ligne jusqu'en 1961 avec un total de seulement 15 000 armes fabriquées. De plus, en 1954, un an seulement avant l'apparition des Pythons, Colt introduisit le .357 Magnum Trooper, qui fut abandonné en 1969. Ainsi, en 1954, avec seulement deux revolvers pour ce qui était alors la cartouche la plus populaire du pays Colt savait clairement qu’il fallait faire quelque chose de dramatique pour capter l’attention du public.
"Je travaillais avec Al Gunther, qui était directeur de l'usine et qui supervisait toute la production", se souvient Al De John, qui a commencé chez Colt en 1946 en tant qu'armurier, a ensuite été promu au poste de responsable des services et est par la suite devenu directeur du Colt Custom Shop. avant sa retraite dans les années 1990.
À l'époque, Al et quelques-uns des pouvoirs qui étaient à la recherche d'un fusil moderne capable de manipuler le Magnum .357. À l'époque, vous étiez soit un revolver, soit un homme semi-automatique. Vous ne maîtrisiez jamais les deux. Je travaillais sur des revolvers, donc J'ai proposé que nous prenions le modèle de match de l'officier et que nous le renforçons. "
L'auteur vise avec son Python, un pistolet connu pour son action de détente à double action tout en douceur, ainsi que pour son action à simple action. En outre, le poids de 38 onces de cette version de 4 pouces de baril le rend extrêmement bien équilibré. Photo de l'auteur.
Al n'aurait pas pu choisir une meilleure arme sur laquelle baser le .357 Mag. Le modèle proposé par l'officier était encore relativement nouveau, puisqu'il avait été introduit en 1952 en tant que version cible de la police officielle, la plus populaire .38 Special dans l'écurie Colt. "En fait," se souvient Al, "la plupart des armes à feu utilisées par la police à cette époque étaient des revolvers de la police officielle".
C’était vrai depuis des décennies, comme le confirmait le catalogue Colt du 1 er janvier 1934: «Le revolver officiel de la police Colt est sans conteste le meilleur bras de police du monde. Ce populaire revolver de service est réputé pour sa robustesse et sa capacité à se tenir debout les abus graves qu’il reçoit aux côtés d’agents de police du monde entier ".
La police officielle et son homologue à vue réglable, le Model Match de l'officier, disposaient d'un système de verrouillage solide mais lisse qui combinait les meilleures caractéristiques (bien que plus réduites) du robuste revolver New Service. Et même s’il était utilisé à la fois en .22 rimfire et en .38 Special, les modèles de match officiel Police et Officier étaient construits sur des cadres plus grands de calibre .41 afin de mieux absorber le recul.
"J'ai donc commencé à bricoler avec le modèle de correspondance de l'officier spécial .38", dit Al. "Cela signifiait renforcer le cylindre et le cadre, y compris la sangle supérieure. Nous avons eu beaucoup de problèmes avec le retour de flamme et les coups de feu. Lors de nos premiers essais sur le nouveau canon, la pression excessive du .357 Magnum a continué de marteler la plaque de recul, Nous avons également éliminé la plaque de recul en plaçant le trou du percuteur directement dans le cadre et en renforçant la sangle supérieure. Nous avons également renforcé la grue pour que le pistolet soit encore plus stable. plus forte."
Un Python extrêmement rare avec un canon de 3 pouces (en haut), comparé à une version nickelée dans le canon plus communément trouvé. Notez les poignées plus anciennes, de style police officielle, sur les deux pistolets. Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Le tonneau musclé, encore plus épais grâce à une tige d'éjecteur entièrement enveloppée et surmontée d'une côte ventilée, constitue un autre développement plus spectaculaire. Selon de nombreux auteurs d'armes à feu de l'époque, qui auraient absorbé avec enthousiasme la publicité de Colt, cette côte était censée dissiper le mirage optique qui obscurcissait la vue généré par les vagues de chaleur provoquées par le tir de la cartouche "chaude" .357. Mais quiconque a tiré avec un Magnum .357 non ventilé sait que les réfractions thermiques sont à peine assez intenses pour gêner la visée. En vérité, la raison de la côte ventilée était purement esthétique.
"Nous nous réunissions pour parler de ce que nous voulions faire [avec la conception du Python]", se souvient Al. "C'est peut-être Al Gunther qui a suggéré pour la première fois de placer une nervure d'aération sur le dessus du canon. Cela n'a rien fait, mais ça avait l'air bien. Je me souviens aussi qu'il y avait eu une controverse sur l'apparence et la finition du museau "Al continue.
"Chez Colt, nous avions toujours eu un rayon sur le museau de nos pistolets, mais avec le Python, nous avons fini par avoir nos meilleurs groupes avec un museau plat qui avait un chanfrein. Ils avaient l'habitude de polir cette surface plane du museau Pour que le métal contraste avec le corps bleui. Mais ce polissage laissait un petit «plat» qui produisait une illusion d'optique et donnait au museau un aspect asymétrique au lieu de rond, ce qui était vraiment le cas. Alors, finalement, j'ai éliminé le vernis. et laissez [le museau] bleu pour qu'il ait l'air normal. "
Pour ce qui est de nommer le nouveau .357 de Colt, Al déclare simplement: "[La société Colt est devenue une pépite pour une raison quelconque", "rappelant évidemment le premier baptême du Cobra .38 Special par Colt en 1950. Ainsi, le Python devint le deuxième serpentin. moniker dans la gamme de Colt. Mais, mis à part les images épaisses et glissantes, il en résulta un magnum sophistiqué, aussi précis que beau.
Initialement fabriqué uniquement avec un canon de 6 pouces, un 4 pouces plus compact est arrivé peu de temps après. Plus tard, un baril de 2 1/2 pouces a été introduit, "qui était le canon le plus court que nous puissions fabriquer et qui comportait encore un évent sur la côte", se souvient Al.
Le Colt Python comportait une vue arrière Accro à contour blanc entièrement ajustable et une rampe avant de 1/8 de pouce avec incrustation rouge. Un éperon large, un marteau à damier et une gâchette courbée et rainurée offraient un contrôle maximal et un temps de verrouillage rapide.
Au départ, seule une finition bleuie était proposée, mais, comme il se doit, ce n’était pas une finition bleue.
"Le Python était la première fois que nous utilisions la finition Colt Royal Blue", déclare Al. "Cela a été provoqué parce que nous avons poli le pistolet avec autant de douceur et de brio que pour le nickel, qui était le vernis le plus brillant que nous puissions avoir. Mais ensuite, nous avons bleui le pistolet à la place."
Pas étonnant pour ceux qui ont déjà tiré ou même manipulé un Python, le polissage était la marque du magnum du milieu du siècle de Colt, non seulement pour l'extérieur mais aussi pour l'intérieur. En fait, le Python était aussi proche d'un pistolet personnalisé fabriqué en série que n'importe quel fusil d'usine jamais créé.
"Nous avons dû affiner toutes les pièces, y compris à l'intérieur des plaques latérales", se souvient Al. "C'était la seule arme sur laquelle nous avons fait cela. Nous avons tout poli, y compris à l'intérieur de la jambe de force du marteau. Nous ne pouvions travailler que sur deux personnes pour travailler sur le Python, moi-même et Don Bedford."
En effet, en raison de toutes les opérations complexes de polissage et d’ajustement à la main, Colt n’utilisait que ses travailleurs les plus qualifiés pour le Python et l’Armée à action unique. En conséquence, la force de détente était plus légère sur le Python que même dans le Model Match de l'officier et allait d'un minimum de 2 3/4 livres à un maximum de 3 1/2 livres. À titre de comparaison, la force de frappe de la police officielle était de 4 1/2 livres.
"Habituellement, un ouvrier de Colt serait capable de manipuler quatre armes à feu en moyenne une heure," dit Al, "mais pour le Python, en raison de tout le travail manuel supplémentaire que cela impliquait, il fallait en moyenne trois armes à feu par heure pour construire et ajuster Nous avons ensuite effectué des tests de tir pour vérifier l'exactitude et l'extraction du pistolet. Si le pistolet n'était pas assez précis, nous devions le rapporter à l'usine et le retravailler le lendemain matin, ce qui signifiait nous ne pouvions pas commencer avec d'autres armes jusqu'à ce que celle-ci soit réparée. "
Une comparaison unique entre un Python à quatre chiffres de production récente, un barillet de 6 pouces et des poignées entièrement quadrillées (en haut) et un pistolet à cinq chiffres plus récent, doté d'un corps de 4 pouces et de poignées lisses (en bas). Avec l'aimable autorisation de Little John's Antique Arms
Toute cette attention particulière portée aux détails a porté ses fruits. Initialement au prix de 125 $ - le même que celui de la Single Action Army réintroduite -, le Python était un gagnant immédiat. Des gravures décoratives étaient également offertes, à partir de 245 $ et à partir de là. "Ce pistolet ne peut être fabriqué que par Colt", a salué la publicité d'introduction d'une page de la société. "Un nombre limité de connaisseurs d'armes à feu marquera l'année 1955 comme une année distinguée de l'histoire des armes de poing, avec l'achat de ce chef-d'œuvre de Colt."
En effet, l'expression "nombre limité" était la phrase clé, puisqu'un seul Python avait été produit cette première année. Et à la fin de 1956, seulement 300 armes à feu avaient été livrées à un public très impatient. Cependant, en 1969, un peu plus de 100 000 Pythons avaient été méticuleusement construits - preuve d’un héritage en devenir. Mais au début, tout ne s'est pas bien passé.
"Nous avions de gros problèmes avec le Python lorsque nous tirions avec des balles sans gaine", se souvient Al. "Parce que la cartouche était très chaude, le plomb pur a littéralement fondu dans le canon. Nous avons donc recommandé que seules des balles à double enveloppe soient tirées en Python, ce qui a pratiquement résolu le problème."
En outre, la conception de la poignée pleine largeur, entièrement en damier sur les premiers pistolets de production était trop épaisse,
interférant avec l'éjection de la coquille. La solution consistait à éclaircir le dessus des poignées en damier avec un pétoncle lisse et légèrement concassé - ce que beaucoup qualifiaient de thumbrest - afin de permettre l’extraction de la coquille. Ceci, à son tour, donna au pistolet un look encore plus raffiné. Plus tard, certains Pythons seraient commandés sur mesure avec des poignées plus petites qui suivaient la configuration de police officielle de style plus ancien.
Au cours de sa longue vie, le Colt Python a subi de nombreux changements cosmétiques. Peu de temps après l'introduction initiale du Python, une finition en nickel a été ajoutée. Ensemble avec Royal Blue, elles sont restées les deux principales finitions d'usine. Un petit nombre de pythons ont été plaqués or et argent pour divers commémoratifs et ordres spéciaux au fil des ans.
En 1981, Coltguard, un placage breveté résistant aux intempéries et résistant aux intempéries, était également disponible. Le Python en acier inoxydable a été réintroduit en 1984, suivi en 1985 par le Python Ultimate en acier inoxydable super poli, qui était équipé d’un viseur Elliason.
Al De John se souvient que la société avait dû acheter de nouveaux outils pour créer ces pistolets en acier inoxydable, car la conception complexe du Python avait complètement endommagé les surfaces de coupe des machines.
Un Python de 8 pouces a été introduit en 1980. Il était doublement unique en son genre. En plus du .357 Magnum, il était également réservé pour le .38 Special - à ne pas confondre avec le plus petit Diamondback de même look du même Python. . L'année suivante, le Colt Python Hunter était dévoilé. Il s'agissait en fait d'un Python de 8 pouces muni de poignées Pachmayr, surmonté d'une lunette de visée 2X Leupold et emballé dans un boîtier en aluminium Halburton avec une tige de nettoyage et un ensemble d'outils.
En 1982, la popularité du Python de 8 pouces était évidente grâce à la Silhouette, livrée avec un oscilloscope Leupold et des poignées Pachmayr, toutes logées dans un boîtier noir avec garniture en nickel. Il y avait aussi une série Ten Pointer de 8 pouces avec une lunette de visée 3X Burris, des poignées en bois, un jeu supplémentaire de poignées en néoprène et un étui de transport.
En 1997, la fabrication du Python a été transférée de la chaîne de montage principale au Colt Custom Shop. Le pistolet a été proposé en acier inoxydable très poli et mat et a été renommé Colt Python Elite. Il est resté en production limitée, par intermittence, jusqu'en 2004.
Bien que le Python ne soit plus catalogué, techniquement, le premier ministre .357 Magnum de Colt n’est jamais sorti de sa production. Même en 2004, selon Joe Canali, responsable des ventes Colt Custom Shop, un nombre limité de pythons ont été fabriqués. Et cette année - peut-être à la lecture de cet article -, à l’occasion de son 50e anniversaire, un Python spécialement gravé sera produit, ce qui équivaut au cycle de production de sa première année de fabrication. En adhérant à la tradition, vous pouvez être sûr que seuls les meilleurs artisans de Colt seront autorisés à assembler ce pistolet.
Benhur- brigadier-general
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Re: Python.......
Salut,
Cet article (https://www.handgunsmag.com/editorial/colt_python_complete_history/138916) très documenté complète celui de Wikipedia (l'original, en anglais - https://en.wikipedia.org/wiki/Colt_Python), pas la courte traduction française https://fr.wikipedia.org/wiki/Colt_Python). Il confirme qu'il n'y a eu qu'une seule version bronzée du Python tout au long de ses années de production. Arthur67 suggère une baisse de qualité de la finition à la fin des années 80 :
Cet article (https://www.handgunsmag.com/editorial/colt_python_complete_history/138916) très documenté complète celui de Wikipedia (l'original, en anglais - https://en.wikipedia.org/wiki/Colt_Python), pas la courte traduction française https://fr.wikipedia.org/wiki/Colt_Python). Il confirme qu'il n'y a eu qu'une seule version bronzée du Python tout au long de ses années de production. Arthur67 suggère une baisse de qualité de la finition à la fin des années 80 :
mais je ne sais pas quelles sont ses sources pour dire cela. Pour ce qui est des photos de PAAF2, l'aspect +/- bleu ou +/- noir de l'arme peut résulter de la qualité de la photo, de son éclairage, de son éventuel post-traitement...Arthur67 a écrit:Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
cdelplace- first lieutenant
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Re: Python.......
cdelplace a écrit: Arthur67 suggère une baisse de qualité de la finition à la fin des années 80 :mais je ne sais pas quelles sont ses sources pour dire cela. Pour ce qui est des photos de PAAF2, l'aspect +/- bleu ou +/- noir de l'arme peut résulter de la qualité de la photo, de son éclairage, de son éventuel post-traitement...Arthur67 a écrit:Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
Mes sources sont simples : ces Python m'ont appartenu.
Alors, naturellement, posés l'un à coté de l'autre, les différences sont flagrantes.
Notamment entre la finition du Royal Blue du jubilé 150 ans Colt et une des dernières versions.
Un Royal Blue.
Arthur67- lieutenant-general
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Re: Python.......
cdelplace a écrit:Salut,
Cet article (https://www.handgunsmag.com/editorial/colt_python_complete_history/138916) très documenté complète celui de Wikipedia (l'original, en anglais - https://en.wikipedia.org/wiki/Colt_Python), pas la courte traduction française https://fr.wikipedia.org/wiki/Colt_Python). Il confirme qu'il n'y a eu qu'une seule version bronzée du Python tout au long de ses années de production. Arthur67 suggère une baisse de qualité de la finition à la fin des années 80 :mais je ne sais pas quelles sont ses sources pour dire cela. Pour ce qui est des photos de PAAF2, l'aspect +/- bleu ou +/- noir de l'arme peut résulter de la qualité de la photo, de son éclairage, de son éventuel post-traitement...Arthur67 a écrit:Pris vers la fin des années 87/90, trop chiant à faire "monter" le bleu en chimie, en thermique, pas de problème, mais faire toute une arme en thermique .... alors ils ont forcés au max et le bronzage est devenu noir.
Non moi j'ai eu les 2 en mains il n'y a pas photo pas de reflet bleuté sur l'un alors que sur l'autre oui et il était d'origine
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
clairement, et c'est connu.. Les premiers Python était en finition Royal Blue (gloss) ensuite un peu avant la finde production, Colt a opté pour un bronzage classique. Et on voit clairement la différence entre les deux. C’était un changement de process pour produire plus vite, cela n’enlève en rien à la qualité de l'arme, les anciennes fabrications avaient un bronzage différent c'est tout.
CityHunter- sergeant-major
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Re: Python.......
@CityHunter,
Merci de ces éclaircissements. Cela m'a incité à parfaire ma culture sur le Python en consultant un forum US qui lui est consacré. J'y ai trouvé un post sur la finition "Royal blue", et il se confirme que le processus de fabrication a évolué au fil des années, le bleu initial faisant place au noir : https://www.coltforum.com/forums/python/357089-royal-blue-finish-question.html (deux pages en anglo-américain faciles à comprendre, au pire "Google Translate"...)
Merci de ces éclaircissements. Cela m'a incité à parfaire ma culture sur le Python en consultant un forum US qui lui est consacré. J'y ai trouvé un post sur la finition "Royal blue", et il se confirme que le processus de fabrication a évolué au fil des années, le bleu initial faisant place au noir : https://www.coltforum.com/forums/python/357089-royal-blue-finish-question.html (deux pages en anglo-américain faciles à comprendre, au pire "Google Translate"...)
cdelplace- first lieutenant
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Re: Python.......
Pour ma 1ere B j'ai pris un Python, j'ai trouvé sur PAAF un des derniers exemplaires produit à un prix correct, et d'après mon armurier il est neuf, d'après lui il a tiré deux boites de cartouches.
Je vais en prendre soin mais m'en servir, ma femme aussi est impatiente de l'essayer
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Roolio64- general
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Re: Python.......
Roolio64 a écrit:Pour ma 1ere B j'ai pris un Python, j'ai trouvé sur PAAF un des derniers exemplaires produit à un prix correct, et d'après mon armurier il est neuf, d'après lui il a tiré deux boites de cartouches.
Je vais en prendre soin mais m'en servir, ma femme aussi est impatiente de l'essayer
Il est précis ton armurier lol il est médium en plus d'être armurier?
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
Ca peut être une façon de parler pour dire qu'il a peu tiré.
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Re: Python.......
SCOOT a écrit:Ca peut être une façon de parler pour dire qu'il a peu tiré.
Roolio64- general
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Re: Python.......
j'en ai deux dans les mains, le 4 et le 6, à l'essai aussi, je me rappelle surtout du reflet bleu pétrole... le "royal blue" je crois que cela s'appelle chez Colt. Mais les poignées d'origine sont trop petites pour mes grandes mains. J'y aurais mis une paychmair.
le 6 est sublime, le 4 c'est Yves Montand... dans Police Python 357. Film culte.
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zulutitan- general
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Re: Python.......
sinon, un prix correct pour un 6" noir en bon état c'est combien ?
et un en "moyen état" nécessitant un rebronzage? (au moins du canon)
et un en "moyen état" nécessitant un rebronzage? (au moins du canon)
redbull- brigadier-general
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Re: Python.......
Les tarif c'est entre 900 et 1500 selon l'état le bronzage royal blue n'est pas reproductible, tu pourras juste refaire un bronzage noir
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
adrien1980 a écrit:Les tarif c'est entre 900 et 1500 selon l'état le bronzage royal blue n'est pas reproductible, tu pourras juste refaire un bronzage noir
Je réponds aux deux :
Il est "impossible" de rebronzer une pièce à moitié. Rebronzer le canon, et laisser le reste dans l’état, c'est pire que tout.
C'est tout ou rien.
C'est possible de refaire un royal blue.
Le plus difficile étant le polissage à réaliser, il faut que ce soit ce que l'on nomme en horlogerie un poli bloqué, ou un poli noir, c'est à dire atteindre l’extrême limite de la brillance.
Suffit ensuite d'aller voir Monsieur Colt et de lui acheter un litre de liqueur à bronzer ...
Pour les tarifs, c'est comme pour tout ce qui touche à la collection : un malin va te déshabiller, un type qui vit dans une grotte sans elec, ni forum, ni le Net, tu vas lui acheter pour une poignée de figues.
Pourquoi que tout ce qui touche de prés comme de loin aux collections s'envolent ??
Simple : l'information constante via le Net et ses forum.
Arthur67- lieutenant-general
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Re: Python.......
il y en a un sur paafadrien1980 a écrit:Les tarif c'est entre 900 et 1500 selon l'état le bronzage royal blue n'est pas reproductible, tu pourras juste refaire un bronzage noir
ça vaut pas le coup je pense. a ce prix tu en trouves des en bon état.
http://paaf2.frenchboard.com/t141851-vends-colt-python-357-mag-6-pouces-1975
tu as une photo du tien?
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Re: Python.......
redbull a écrit:il y en a un sur paaf canon a rebronzer mais 1100€...adrien1980 a écrit:Les tarif c'est entre 900 et 1500 selon l'état le bronzage royal blue n'est pas reproductible, tu pourras juste refaire un bronzage noir
ça vaut pas le coup je pense. a ce prix tu en trouves des en bon état.
http://paaf2.frenchboard.com/t141851-vends-colt-python-357-mag-6-pouces-1975
tu as une photo du tien?
J'en ai eu 2 un royal blue 6", j'ai eu un soucis de bronzage et je n'ai trouvé personne pour le refaire
Et la je viens d'échanger une de mes armes contre un inox 6" et un FAL en très bon état (le python je m'en foutais je voulais juste le FAL) je l'ai déjà revendu à mon oncle pour 950euros, je ne garde pas ce genre de revolver! Pour le 1er il m'a fallu une pièce le mec m'a vu arriver et j'en aibeubpour 80euros une pièce qui en vaut 5euros mais la rareté provoque la :Anal: :Anal: :Anal: lol
Mais le royal blue 6" en parfait état quasi neuf je l'avais payé 400euros....... En 2008
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Re: Python.......
on va finir par douter de toi lol...
hier tu l'avais, aujourd'hui tu l'as plus .....
hier tu l'avais, aujourd'hui tu l'as plus .....
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Re: Python.......
redbull a écrit:on va finir par douter de toi lol...
hier tu l'avais, aujourd'hui tu l'as plus .....
Je l'ai c'est mon armurier qui me le garde le temps de la transaction j'ai tiré avec samedi
Je ne vois pas trop l'intérêt de mentir!!!! Je le vois mal contacter mon ami armurier pour avoir une photo
Mais ne t'inquiète pas dimanche je te ferais une photo spécialement pour toi
adrien1980- hors classe
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Re: Python.......
adrien1980 a écrit:redbull a écrit:on va finir par douter de toi lol...
hier tu l'avais, aujourd'hui tu l'as plus .....
Je l'ai c'est mon armurier qui me le garde le temps de la transaction j'ai tiré avec samedi
Je ne vois pas trop l'intérêt de mentir!!!! Je le vois mal contacter mon ami armurier pour avoir une photo
Mais ne t'inquiète pas dimanche je te ferais une photo spécialement pour toi
oui avec Adrien1980 écrit sur un papier a coté du serpent
redbull- brigadier-general
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