MEURTRE-SUICIDE dans les Hauts de Seine

ça fait déjà deux semaines et avec le COVID (y'en a qu'pour lui) on récupère plus trop les news (et puis je ne lis pas le parisien, c'est un pote tireur qui m'a remonté l'info) mais bref, dans les Hauts de Seine un Président de stand a zigouillé papa, maman et lui après. vous êtes déjà au courant peut-être. je viens de l'apprendre. J'ai fait des recherches sur le forum, pas vu passer de post alors je me permets celui-ci.

c'est moche. Il avait 62 ans, il s'appelait Philippe Reclus, était connu des amis tireurs et des gens dans la compétition, et il dirigeait un stand dans les Hauts de Seine (mais la fusillade a eu lieu à l'appartement familial à Meudon). 

Sa mère avait alzheimer. si j'ai bien compris il habitait chez ses parents (après un divorce je crois bien, car il a une fille)

une bien triste affaire qui remets sur le tapis, surtout à l'issue (façon de parler) de ce covid de malheur qui a chamboulé bien des vies, la question de la santé psychique et de la solidité morale, etc. 

bref, prenez soin de vous et des gens autour de vous. restez pas seuls (y a tinder) et consultez si nécessaire (et c'est jamais aussi facile dans la vraie vie de prendre ces décisions, je sais). 

Quelque part on est une grande famille et faut aller vers les autres si le moral est en berne. même si on va au stand, on va vers les gens, c'est un moment convivial 

(sinon si ça va vraiment pas, rends tes armes, frère, soeur)

 voici le lien (pour un aperçu seulement à moins que vous soyiez abonné.e)

Mac

Pas entendu parlé. Les medias n'en ont que pour le covid. Heureusement vu la désinformation qui règne depuis un peu plus de 3 ans.
Les seules infos valables sont celles des forums et FB.

Condoleances a sa fille.

Il a du déprimer de voir dépérir ses parents. Alzheimer c'est terrible. Les autres te vois mourrir à petit feu.

C'est comme les divorces, avec les confinements le nombre a explosé. Surtout ceux qui avaient des aventures extras conjugales...

Perso c'est mon deuxième club qui m'a permis de ne pas tomber en dépression. Pendant tout le temps de la pendémie il est resté ouvert.  Le premier avait été fermé par décision administrative.

J'ai pu garder ce lien social avec les collègues. Et j'ai pu continuer à me défouler sur les cibles. 
En Même temps je donnais des cours. Et je sentais aussi que mes élèves avaient besoin de se retrouver une fois par semaine pour partager 2h de distraction et de bonheur.

Leur motivation était exemplaire. Personnellement cela m'a servi de thérapie. Plus ils en voulaient et plus je voulais leur en donner.

Le tir sportif arrivé à un certain moment c'est que du bonheur. 

C'est pareil dans tous les sports remarquez. Mais si en plus tu partages ton savoir que tu sais le transmettre c'est un plus.