Unique 7,65 police

Bonjour. 
En triant les affaires de mon père , officier de paix à  la préfecture de police, je retrouve son livret de tir.
Il avait un unique en 7,65.Le numéro de série y est indiqué... Je souhaiterais le retrouver.
Sauriez vous à quelle porte tocquer ?
Merci de votre aide.

Comme c'est une arme de l'administration, elle a du passer au pilon depuis pas mal de temps........

On sait jamais sur un malentendu … Revendu à une Police municipale ? Un particulier via une armurerie?

Avec ce numéro de série je souhaiterai connaitre son devenir … Des informations ou appeler ?

peas évident de retrouvé l'historique de cette arme

a voir peut être avec la pref ou cas ou celle ci serais sortie de l'administration

Il n'y a pas un ficher que l'on pourrait demander de consulter . En France les armes sont "bien suivies "...

Pour les "civils" oui, mais pour l'administration.......Je connais au moins deux officiers de police en retraite qui ont conservé leurs armes de service........

Tu pourrais leur demander comment procéder ?
Amitiés

T'es serieux ou tu nous troll depuis le début là?

Est ce que j'ai une tete à "troller "?

Je suis fils de policier, j'ai 51 ans, je suis tireur sportif et respectueux des anciens ... Ton commentaire est irrespectueux et inapproprié dans ma recherche ... Je te prie de t'en excuser

charlemagne a écrit:Comme c'est une arme de l'administration, elle a du passer au pilon depuis pas mal de temps........

Je pense aussi.

Comme il y en avait beaucoup sur le marché à une époque, certaines de ces armes ont fini neutralisées et servent aujourd'hui de presse-papier.

Voir aussi la piste africaine au bon vieux temps des "colonies" ... A la ceinture d'un brigadier Sabari ...

A mon sens un bonne piste est de trouver un voire plusieurs armurier / monit de tir de la PP de l époque.
Quand ça sera concordant au niveau de leurs versions sur ce que devenaient ces modèles tu pourras creuser plus loin et parler de numéro.

Des collègues contemporains de ton père pourront également te dire quand et à qui ils avaient rendus leurs flingues.