Une pas drôle hélas...
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LEICACECILIA
bardiana
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Marcaurel
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Une pas drôle hélas...
Petite leçon de socialisme: Un professeur d'économie annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.
Cette classe d'enfants de socialistes était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.
Le professeur dit alors: "OK donc, nous allons mener une expérience de socialisme dans cette classe.
A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note.
Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
Après le premier contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20.
Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
A l'approche du deuxième contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le premier test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.
Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.
Dr Adrien Rogers, 1931.
Les choses sont aussi simples que ça. Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres de façon durable. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela s'appelle le déclin et la fin d'une nation.
On n'accroît pas les biens en les divisant
Cette classe d'enfants de socialistes était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.
Le professeur dit alors: "OK donc, nous allons mener une expérience de socialisme dans cette classe.
A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note.
Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
Après le premier contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20.
Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
A l'approche du deuxième contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le premier test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.
Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.
Dr Adrien Rogers, 1931.
Les choses sont aussi simples que ça. Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres de façon durable. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela s'appelle le déclin et la fin d'une nation.
On n'accroît pas les biens en les divisant
Marcaurel- modo
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Re: Une pas drôle hélas...
dans la plus pur vérité
thp 7.08- hors classe
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Re: Une pas drôle hélas...
en 1931 il avait deja tout pigé lui!puta..,on est vraiment nul dans ce pays de m ....!pour refuser de voire les choses en face!REVEIL BORSDEL,RETIRER VOUS LES DOIGTS DU C..!ET ACTION,
VOTER A DROITE TOUTE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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bardiana- hors classe
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Re: Une pas drôle hélas...
j'adore la dernière phrase, c'est tellement notre société, pourtant capitaliste.
Invité- Invité
Re: Une pas drôle hélas...
Je pense même qu'il faudrait supprimer tout ce qui est social (RMI, RSA, CMU etc.)
Et même j'irai plus loin:
Supprimer la sécu, le chômage, les mutuelles, les allocs, etc.
Les retraites aussi.
Chacun n'a quà se débrouiller sans compter sur les autres.
Tu bosses pas ? Tu crêves!
Tu es malade ou tu as eu un accident?
Si tu n'as pas d'argent, tu crêves.
Ca laisserait la chance aux bosseurs et aux forts de réussir. Nous en sommes à un point où les faibles n'ont pas à exister. Comme dans les troupeaux d'animaux sauvages : Les plus faibles et les malades sont abandonnés et meurent.
Ca permettrait de créer une société d'hommes forts, riches puisqu'ils n'auraient plus à donner à ceux qui ont besoin.
Plus à payer pour ces chercheurs et ces labos qui nous coûtent une fortune, pour sauver quelques misérables vies qui ne rapporteront rien à la société.
Si un de ces misérables a un cancer ou un accident de voiture, qu'il se démerde. Les autres n'y sont pour rien.
Tiens, les accidents de voiture :
Supprimer les assurances. Je n'ai jamais d'accident, pourquoi ma cotisation augmente chaque année ? J'ai 50% de bonus !
Je trouve anormal dans mon cas de payer une assurance, puisque je n'ai jamais d'accident !
Dans la Grèce antique, le chef du village jetait dans le vide les nouveaux nés qui lui semblaient faibles.
C'est ça qu'il faut faire : Eliminer les faibles, malades, handicapés etc.
En tout cas ne plus les aider, ne plus rien payer pour eux.
S'ils n'ont pas de fric, c'est leur problème, pas le notre.
On en a assez de payer pour des malades, nous qui sommes en bonne santé et le serons toujours.
Nous qui aurons toujours du travail et qui refusons de payer pour ces fainéants de chômeurs.
Nous qui ne serons jamais vieux. Ni malades, ni chômeurs.
Vive la vie active, la jeunesse et la santé éternelle que nous aurons toujours.
J'admire les milliardaires (russes ou d'ailleurs), leur bateaux de 80 mètres achetés à la sueur de leur front, leurs voitures splendides, leurs propriétés de rêve. Ils ont mérité tout ça. Les pauvres n'ont que ce qu'ils méritent, ils n'avaient qu'à passer des diplomes et bosser, au lieu de râler :
Ils auraient aujourd'hui des yachts de 80 mètres, au lieu de défiler connement !
Vive les riches, à bas ceux qui quémandent !
(Moi, ce que j'en dis...)
Et même j'irai plus loin:
Supprimer la sécu, le chômage, les mutuelles, les allocs, etc.
Les retraites aussi.
Chacun n'a quà se débrouiller sans compter sur les autres.
Tu bosses pas ? Tu crêves!
Tu es malade ou tu as eu un accident?
Si tu n'as pas d'argent, tu crêves.
Ca laisserait la chance aux bosseurs et aux forts de réussir. Nous en sommes à un point où les faibles n'ont pas à exister. Comme dans les troupeaux d'animaux sauvages : Les plus faibles et les malades sont abandonnés et meurent.
Ca permettrait de créer une société d'hommes forts, riches puisqu'ils n'auraient plus à donner à ceux qui ont besoin.
Plus à payer pour ces chercheurs et ces labos qui nous coûtent une fortune, pour sauver quelques misérables vies qui ne rapporteront rien à la société.
Si un de ces misérables a un cancer ou un accident de voiture, qu'il se démerde. Les autres n'y sont pour rien.
Tiens, les accidents de voiture :
Supprimer les assurances. Je n'ai jamais d'accident, pourquoi ma cotisation augmente chaque année ? J'ai 50% de bonus !
Je trouve anormal dans mon cas de payer une assurance, puisque je n'ai jamais d'accident !
Dans la Grèce antique, le chef du village jetait dans le vide les nouveaux nés qui lui semblaient faibles.
C'est ça qu'il faut faire : Eliminer les faibles, malades, handicapés etc.
En tout cas ne plus les aider, ne plus rien payer pour eux.
S'ils n'ont pas de fric, c'est leur problème, pas le notre.
On en a assez de payer pour des malades, nous qui sommes en bonne santé et le serons toujours.
Nous qui aurons toujours du travail et qui refusons de payer pour ces fainéants de chômeurs.
Nous qui ne serons jamais vieux. Ni malades, ni chômeurs.
Vive la vie active, la jeunesse et la santé éternelle que nous aurons toujours.
J'admire les milliardaires (russes ou d'ailleurs), leur bateaux de 80 mètres achetés à la sueur de leur front, leurs voitures splendides, leurs propriétés de rêve. Ils ont mérité tout ça. Les pauvres n'ont que ce qu'ils méritent, ils n'avaient qu'à passer des diplomes et bosser, au lieu de râler :
Ils auraient aujourd'hui des yachts de 80 mètres, au lieu de défiler connement !
Vive les riches, à bas ceux qui quémandent !
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LEICACECILIA- " Prix Vénérable d'OR 2012 "
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Re: Une pas drôle hélas...
PS : Je vote FN, mais j'espère avoir un peu remis les pendules à l'heure...
Amitiés à tous.
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LEICACECILIA- " Prix Vénérable d'OR 2012 "
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Re: Une pas drôle hélas...
Un bémol à la démonstration de marcaurel....
Le problème du "socialisme" c'est le dévoiement inhérent à l'idéologie et c'est ce que souligne la démonstration...
En fait, l'idée de répartition pourrait fonctionner si chacun accepte sa place et si les carotteurs sont éliminés du système si en fait plutôt que de prôner un égalitarisme assortis de privilège on fonde un droit minimum conditionné....
Je suis un libéral, cad que je place l'individu devant la société, néanmoins je concède qu'une société doit être cohérente socialement CAD qu'une forme de transfert doit exister pour s'assurer que chacun puisse vivre décemment en ce monde .... c'est là la principale faute des ultra riche, ils accaparent tant de richesse sans jouer le rôle de redistribution (via des emplois p ex) qu'au final ils permettent aux socialistes et autres communistes qui après tout ne sont que de vulgaires populistes de vendre l'idée aux benêts qu'on peut imposer une société juste ...
La majorité des humains sont minables donc les systèmes de pensées qu'ils promeuvent sont minables..... CQFD
Le problème du "socialisme" c'est le dévoiement inhérent à l'idéologie et c'est ce que souligne la démonstration...
En fait, l'idée de répartition pourrait fonctionner si chacun accepte sa place et si les carotteurs sont éliminés du système si en fait plutôt que de prôner un égalitarisme assortis de privilège on fonde un droit minimum conditionné....
Je suis un libéral, cad que je place l'individu devant la société, néanmoins je concède qu'une société doit être cohérente socialement CAD qu'une forme de transfert doit exister pour s'assurer que chacun puisse vivre décemment en ce monde .... c'est là la principale faute des ultra riche, ils accaparent tant de richesse sans jouer le rôle de redistribution (via des emplois p ex) qu'au final ils permettent aux socialistes et autres communistes qui après tout ne sont que de vulgaires populistes de vendre l'idée aux benêts qu'on peut imposer une société juste ...
La majorité des humains sont minables donc les systèmes de pensées qu'ils promeuvent sont minables..... CQFD
ericblo- hors classe
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Re: Une pas drôle hélas...
Je te suis entièrement.
LEICACECILIA- " Prix Vénérable d'OR 2012 "
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Re: Une pas drôle hélas...
LEICACECILIA a écrit:
J'admire les milliardaires (russes ou d'ailleurs), leur bateaux de 80 mètres achetés à la sueur de leur front, leurs voitures splendides, leurs propriétés de rêve. Ils ont mérité tout ça. Les pauvres n'ont que ce qu'ils méritent, ils n'avaient qu'à passer des diplomes et bosser, au lieu de râler :
Ils auraient aujourd'hui des yachts de 80 mètres, au lieu de défiler connement !
Vive les riches, à bas ceux qui quémandent !
(Moi, ce que j'en dis...)
..... sauf que la richesse n'est pas infinie, c'est un gâteau, un gâteau qui grossis certes mais c'est une entité finie et donc à la dégustation il y a aussi un nombre finis de personne.... je dirais que je souscris à ton idée si effectivement 100% de la richesse serait due à la connaissance et au travail dans les faits on constate surtout que les riches le sont parce qu'ils avaient des moyens de départ, parce qu'ils avaient un réseau social et souvent l'origine des fonds est obscur....C'est un fait démontré à étude égale un fils d'ouvrier sans relation va mettre 20 ans de plus qu'un fils de notable pour égaliser ces revenus et encore à ce moment le fils d'ouvrier consacrera une part infiniment plus importante de ces revenus à des biens de nécessité là ou le fils de notable thésaurisera..... Le proverbe le dit "c'est la première maison qui coute cher, les autres s'autofinance"
.... moi je n'ai aucun problème à voir un riche jouir de sa fortune, mais de là à penser que c'est légitime qu'il y ait des pauvres c'est touchy...... imaginez que les superbénéfices qui ont permit d'acheter le yacht de 80m sont issus du fait qu'on a délocalisé une usine de france au Botswana non pas pour y payer les ouvriers locaux à XX coef du cout de la vie mais à XXcoef/10 de ce cout.... c'est exactement le jeux pervers ou nous jouons depuis 40 ans,
Et ce jeux ne se résume pas à salaud de pauvre!
ericblo- hors classe
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Re: Une pas drôle hélas...
En fait, c'est très simple...
Le monde se divise en deux catégories, les forts et les faibles!
Les forts se doivent de le rester en éliminant un maximum de faibles.
Le monde se divise en deux catégories, les forts et les faibles!
Les forts se doivent de le rester en éliminant un maximum de faibles.
El Diablero- lieutenant-general
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Re: Une pas drôle hélas...
El Diablero a écrit:En fait, c'est très simple...
Le monde se divise en deux catégories, les forts et les faibles!
Les forts se doivent de le rester en éliminant un maximum de faibles.
pas tout à fait,,, les forts et les faibles ne sont que des sous ensembles, que l'on trouve dans deux catégories :
- les cons,
et
- ceux qui ne le sont pas
la première catégorie, de loin la plus importante, comporte comme la seconde, des personnes riches, et des pauvres.
je m'arrêterais là pour aujourd'hui, de toutes les façons les cons ne comprendront pas plus même si on explique davantage, et ceux qui ne le sont pas savent de quoi je parle !
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Re: Une pas drôle hélas...
Sans compter que l'on fini un jour ou l'autre par tomber sur plus fort que soi...
El Diablero- lieutenant-general
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Re: Une pas drôle hélas...
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Buck- hors classe
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