Education Nationale
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AlcOOlix
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Education Nationale
La page Fock bouc de l´éducation nationale en France (si si )
Manque plus que les noeuds roses dans les cheveux des garçons:
Provocation, fabrication artificielle de reacistes ?
Manque plus que les noeuds roses dans les cheveux des garçons:
Provocation, fabrication artificielle de reacistes ?
AlcOOlix- first lieutenant
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Re: Education Nationale
provocation
tout comme ca
"ecoutez moi bien , nous passons de 275 ecoles a toutes les ecoles ,tous les enseignant touys les eleves "
c est meme plus de la diversité la sérieux .....
tout comme ca
"ecoutez moi bien , nous passons de 275 ecoles a toutes les ecoles ,tous les enseignant touys les eleves "
c est meme plus de la diversité la sérieux .....
Invité- Invité
Re: Education Nationale
Nous avons publié lundi une photo d’une école parisienne qui suscite énormément de commentaires injurieux et/ou racistes. Conformément à la charte de cette page, (https://www.facebook.com/EducationFrance/info) tous ces commentaires sont supprimés. Cette page est un espace de dialogue positif et constructif sur l’école d’aujourd’hui et non une tribune politique.
Réaction il y 19h sur la page FB.
Sans commentaire ... ou plutot si: Électorat de gauche élevé en batterie.
Réaction il y 19h sur la page FB.
Sans commentaire ... ou plutot si: Électorat de gauche élevé en batterie.
Invité- Invité
Re: Education Nationale
sur certains forum, des fdp affirmaient que la photo de l'ecole est prise dans les dom tom ce qui expliquait la proportion d'élève blancs. L'educ naze confirme bien que cette photo est prise en region parisienne....
bins_diver- brigadier-general
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Re: Education Nationale
dégouttant... franchement si j'avai des gosses je saurai pas comment leur offrir un éducation scolaire correcte (en supposant que cela existe)...
mais bon la question ne se pause pas pour moi.
mais bon la question ne se pause pas pour moi.
kona-kona- hors classe
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Re: Education Nationale
AlcOOlix a écrit:La page Fock bouc de l´éducation nationale en France (si si )
Manque plus que les noeuds roses dans les cheveux des garçons:
Provocation, fabrication artificielle de reacistes ?
Aucun doute: les fibricateurs de la page Facebook de l'Education Nationale sont des pauvres cons. Pour finir ils n'auront fait que susciter des sentiments d'injustice et dresser les blancs contre les noirs.
Ces donneurs de leçons imbéciles méritent le RSA.
oldshot- modo
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Re: Education Nationale
L'Education nationale est devenue un élevage de futurs électeurs du PS... le tout en batterie ! Plus il en passera entre leurs mains en un laps de temps restreint et mieux ce sera. Une production massive d'assistés incultes n'ayant que pour seul recours pour subsister que de se tourner vers l'Etat protecteur et nourricier. Et sous le ministère de Mme NVB les choses vont être de pire en pire !
Invité- Invité
Re: Education Nationale
ils n'assument rien.
ils provoquent un max.
pire, ensuite, ils nient le remplacement de population...
la, y'a 2 petits blancos.
dans certaines ecoles parisiennes, y'a meme pas 10% de blancos...
ils provoquent un max.
pire, ensuite, ils nient le remplacement de population...
la, y'a 2 petits blancos.
dans certaines ecoles parisiennes, y'a meme pas 10% de blancos...
Re: Education Nationale
Vous n'êtes pas assez "bisous" les gars
COFFY- colonel
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Re: Education Nationale
si c'est un choix officiellement debattu et legitimé par un vote du peuple, je m'incline.COFFY a écrit:Vous n'êtes pas assez "bisous" les gars
mais la, ils se foutent de notre gueule. ils mentent, ils trichent et en plus, nous insultent.
Re: Education Nationale
désolant de voir certains commentaire de petit gauchaux genre "la diversitée est une richesse" (si si je l'ai vu celui la ).
kona-kona- hors classe
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Re: Education Nationale
C'est marrant comme c'est tjs la faute de la gauche alors que sur ce 55 dernières années la droite a été au pouvoir 39 ans.
Du coup c'est comme pas trop compliqué de comprendre que si nous en sommes ou nous en sommes, les premiers coupables, c'est ces vieux cons de réac de droite.
Mais en fait ce serait aussi trop facile de dire ça.
Peut être qu'en faite droite et gauche (y compris les extremes) ne sont qu'une vaste connerie qui sont complétements déphasée par rapport à la réalité.
Dsl de polluer avec ça mais je trouve qu'ici, tout est tjs la faute de la gauche et je trouve ça vraiment facile.
Du coup c'est comme pas trop compliqué de comprendre que si nous en sommes ou nous en sommes, les premiers coupables, c'est ces vieux cons de réac de droite.
Mais en fait ce serait aussi trop facile de dire ça.
Peut être qu'en faite droite et gauche (y compris les extremes) ne sont qu'une vaste connerie qui sont complétements déphasée par rapport à la réalité.
Dsl de polluer avec ça mais je trouve qu'ici, tout est tjs la faute de la gauche et je trouve ça vraiment facile.
Bagalorifere- major-general
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Re: Education Nationale
Bagalorifere a écrit:C'est marrant comme c'est tjs la faute de la gauche alors que sur ce 55 dernières années la droite a été au pouvoir 39 ans.
Du coup c'est comme pas trop compliqué de comprendre que si nous en sommes ou nous en sommes, les premiers coupables, c'est ces vieux cons de réac de droite.
Mais en fait ce serait aussi trop facile de dire ça.
Peut être qu'en faite droite et gauche (y compris les extremes) ne sont qu'une vaste connerie qui sont complétements déphasée par rapport à la réalité.
C'est un peu ça, pas un pour rattraper l'autre...on est mal barrés
mic57- major
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Localisation : Pauvre France
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Re: Education Nationale
ils sont déjà la, faut pas oublier les petites mains qui ont fait les vêtements
Bagalorifere- major-general
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Localisation : Bagaland
Date d'inscription : 18/03/2014
Re: Education Nationale
Voici la liste des gouvernements français depuis la Libération:
Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) (septembre 1944 - janvier 1947)
Après la Libération
Gouvernement Charles de Gaulle (1) du 10 septembre 1944 au 21 septembre 1945.
Gouvernement Charles de Gaulle (2) du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946.
Gouvernement Félix Gouin du 26 janvier 1946 au 12 juin 1946.
Gouvernement Georges Bidault (1) du 24 juin 1946 au 28 novembre 1946.
Après l'élection de la 1re Assemblée nationale de la IVe République
Gouvernement Léon Blum (3) du 18 décembre 1946 au 22 janvier 1947.
Quatrième République
Vincent Auriol, président de la République (1947-1954)
Gouvernements nommés par Vincent Auriol, président de la République du 16 janvier 1947 au 16 janvier 1954.
Gouvernement Paul Ramadier (1) du 22 janvier 1947 au 21 octobre 1947.
Gouvernement Paul Ramadier (2) du 22 octobre 1947 au 19 novembre 1947.
Gouvernement Robert Schuman (1) du 24 novembre 1947 au 19 juillet 1948.
Gouvernement André Marie du 26 juillet 1948 au 27 août 1948.
Gouvernement Robert Schuman (2) du 5 septembre 1948 au 7 septembre 1948.
Gouvernement Henri Queuille (1) du 11 septembre 1948 au 5 octobre 1949.
Gouvernement Georges Bidault (2) du 28 octobre 1949 au 7 février 1950.
Gouvernement Georges Bidault (3) du 7 février 1950 au 24 juin 1950.
Gouvernement Henri Queuille (2) du 2 juillet 1950 au 4 juillet 1950.
Gouvernement René Pleven (1) du 12 juillet 1950 au 28 février 1951.
Gouvernement Henri Queuille (3) du 10 mars 1951 au 10 juillet 1951.
Gouvernement René Pleven (2) du 11 août 1951 au 7 janvier 1952.
Gouvernement Edgar Faure (1) du 20 janvier 1952 au 28 février 1952.
Gouvernement Antoine Pinay du 8 mars 1952 au 23 décembre 1952.
Gouvernement René Mayer du 8 janvier 1953 au 21 mai 1953.
Gouvernement Joseph Laniel (1) du 27 juin 1953 au 16 janvier 1954.
René Coty, président de la République (1954-1959):
Gouvernements nommés par René Coty, président de la République du 16 janvier 1954 au 8 janvier 1959 :
Gouvernement Joseph Laniel (2) du 16 janvier 1954 au 12 juin 1954 ;
Gouvernement Pierre Mendès France du 18 juin 1954 au 23 février 1955 ;
Gouvernement Edgar Faure (2) du 23 mars 1955 au 24 janvier 1956 ;
Gouvernement Guy Mollet du 31 janvier 1956 au 21 mai 1957 ;
Gouvernement Maurice Bourgès-Maunoury du 12 juin 1957 au 30 septembre 1957 ;
Gouvernement Félix Gaillard du 6 novembre 1957 au 15 avril 1958 ;
Gouvernement Pierre Pflimlin du 13 mai 1958 au 28 mai 1958 ;
Gouvernement Charles de Gaulle (3) du 1er juin 1958 au 8 janvier 1959.
Après la crise de mai 1958 et le putsch à Alger le 13 mai, le président René Coty nomme le Général de Gaulle président du Conseil. La Constitution votée le 28 septembre 1958 par référendum implique la cessation de ses fonctions dès la mise en place des nouvelles institutions.
Cinquième République:
Charles de Gaulle, président de la République (1959-1969):
Gouvernements nommés par Charles de Gaulle, président de la République du 8 janvier 1959 au 28 avril 1969 :
Premier mandat, du 8 janvier 1959 au 8 janvier 1966 :
Le chef du gouvernement porte désormais le titre de « Premier ministre », la présidence du Conseil des ministres étant assurée par le président de la République (alors que ses prédécesseurs n'y avaient qu'un rôle de figuration).
Gouvernement Michel Debré du 9 janvier 1959 au 14 avril 1962 ;
Gouvernement Georges Pompidou (1) du 14 avril 1962 au 7 décembre 1962 ;
Après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée nationale le 5 octobre 1962, le président de la République refusait la démission du gouvernement et dissolvait l'Assemblée. Une nouvelle majorité étant élue, le Premier ministre fut chargé de constituer un nouveau gouvernement, qui obtint la confiance de la nouvelle chambre :
Gouvernement Georges Pompidou (2) du 7 décembre 1962 au 8 janvier 1966.
Ce deuxième gouvernement Pompidou s'achève avec la fin du mandat de Charles de Gaulle, et après la réélection de ce dernier, le 19 décembre 1965.
Second mandat, du 8 janvier 1966 au 28 avril 1969 :
Gouvernement Georges Pompidou (3) du 8 janvier 1966 au 8 avril 1967 ;
Les élections législatives de mars 1967 sont remportées de justesse par la majorité sortante. Georges Pompidou est chargé de former un nouveau gouvernement :
Gouvernement Georges Pompidou (4) du 8 avril 1967 au 10 juillet 1968 ;
La crise de mai 1968 ébranle le régime. Elle devient politique et Charles de Gaulle dissout l'Assemblée nationale : les élections législatives sont largement remportées par l'UDR, le parti du Président et de la majorité sortante. Maurice Couve de Murville devient Premier ministre :
Gouvernement Maurice Couve de Murville du 10 juillet 1968 au 20 juin 19691 ;
Le président de Gaulle démissionne après le rejet, par référendum, d'une révision de la constitution (qui prévoyait notamment une transformation radicale du rôle du Sénat et du mode d'élection des sénateurs).
Alain Poher, président du Sénat, devient président de la République par intérim (du 28 avril 1969 au 20 juin 19691).
Georges Pompidou, président de la République (1969-1974)[modifier | modifier le code]
Gouvernements nommés par Georges Pompidou, président de la République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974 :
Gouvernement Jacques Chaban-Delmas du 20 juin 1969 au 5 juillet 1972 ;
Gouvernement Pierre Messmer (1) du 6 juillet 1972 au 5 avril 1973 ;
Gouvernement Pierre Messmer (2) du 5 avril 1973 au 1er mars 1974 ;
Gouvernement Pierre Messmer (3) du 1er mars 1974 au 27 mai 1974.
Le président Pompidou meurt d'une longue maladie (maladie de Waldenström) avant la fin de son mandat.
Alain Poher, président du Sénat, devient président de la République par intérim pour la seconde fois (du 2 avril 1974 au 19 mai 19742).
Valéry Giscard d'Estaing, président de la République (1974-1981):
Gouvernements nommés par Valéry Giscard d'Estaing, président de la République du 19 mai 1974 au 19 mai 19813 :
Gouvernement Jacques Chirac (1) du 27 mai 1974 au 25 août 1976 ;
Gouvernement Raymond Barre (1) du 27 août 1976 au 29 mars 1977 ;
Gouvernement Raymond Barre (2) du 29 mars 1977 au 31 mars 1978 ;
Gouvernement Raymond Barre (3) du 31 mars 1978 au 13 mai 1981.
François Mitterrand, président de la République (1981-1995):
Gouvernements nommés par François Mitterrand, président de la République du 21 mai 1981 au 17 mai 1995 :
Premier mandat, du 21 mai 1981 au 21 mai 1988 :
Gouvernement Pierre Mauroy (1) du 22 mai 1981 au 23 juin 1981 ;
Gouvernement Pierre Mauroy (2) du 23 juin 1981 au 23 mars 1983 ;
Gouvernement Pierre Mauroy (3) du 23 mars 1983 au 17 juillet 1984 ;
Gouvernement Laurent Fabius du 17 juillet 1984 au 20 mars 1986 ;
Gouvernement Jacques Chirac (2) du 20 mars 1986 au 10 mai 1988 : période qualifiée de « Première cohabitation », s'achevant avec la réélection du président sortant, face au Premier ministre ;
Second mandat, du 21 mai 1988 au 17 mai 1995 :
Gouvernement Michel Rocard (1) du 10 mai 1988 au 22 juin 1988 ;
Gouvernement Michel Rocard (2) du 23 juin 1988 au 15 mai 1991 ;
Gouvernement Édith Cresson du 15 mai 1991 au 31 mars 1992 ;
Gouvernement Pierre Bérégovoy du 2 avril 1992 au 28 mars 1993 ;
Gouvernement Édouard Balladur du 29 mars 1993 au 16 mai 1995 : période qualifiée de « Deuxième cohabitation », s'achevant avec l'élection de Jacques Chirac à la présidence de la République.
Jacques Chirac, président de la République (1995-2007):
Gouvernements nommés par Jacques Chirac, président de la République du 17 mai 1995 au 16 mai 2007 :
Premier mandat, du 17 mai 1995 au 17 mai 2002 :
Gouvernement Alain Juppé (1) du 18 mai 1995 au 7 novembre 1995 ;
Gouvernement Alain Juppé (2) du 7 novembre 1995 au 2 juin 1997 ;
Gouvernement Lionel Jospin du 4 juin 1997 au 6 mai 2002 : période qualifiée de « Troisième cohabitation », s'achevant avec la défaite du Premier ministre dès le premier tour de l'élection présidentielle, puis la réélection du président de la République sortant au second tour le 5 mai 2002 ;
Second mandat, du 17 mai 2002 au 16 mai 2007 :
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (1) du 7 mai 2002 au 17 juin 2002 ;
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2) du 17 juin 2002 au 30 mars 2004 ;
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) du 30 mars 2004 au 31 mai 2005 ;
Gouvernement Dominique de Villepin du 31 mai 2005 au 15 mai 2007.
Nicolas Sarkozy, président de la République (2007-2012):
Gouvernements nommés par Nicolas Sarkozy, président de la République du 16 mai 2007 au 15 mai 2012 :
Gouvernement François Fillon (1) du 18 mai 2007 au 18 juin 2007 ;
Gouvernement François Fillon (2) du 19 juin 2007 au 13 novembre 2010 ;
Gouvernement François Fillon (3) du 14 novembre 2010 au 10 mai 2012.
François Hollande, président de la République (depuis 2012):
Gouvernements nommés par François Hollande, président de la République depuis le 15 mai 2012 :
Gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) du 15 mai 2012 au 18 juin 2012 ;
Gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) du 18 juin 2012 au 31 mars 2014 ;
Gouvernement Manuel Valls (1) du 31 mars 2014 au 25 août 2014 ;
Gouvernement Manuel Valls (2) depuis le 25 août 2014
Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) (septembre 1944 - janvier 1947)
Après la Libération
Gouvernement Charles de Gaulle (1) du 10 septembre 1944 au 21 septembre 1945.
Gouvernement Charles de Gaulle (2) du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946.
Gouvernement Félix Gouin du 26 janvier 1946 au 12 juin 1946.
Gouvernement Georges Bidault (1) du 24 juin 1946 au 28 novembre 1946.
Après l'élection de la 1re Assemblée nationale de la IVe République
Gouvernement Léon Blum (3) du 18 décembre 1946 au 22 janvier 1947.
Quatrième République
Vincent Auriol, président de la République (1947-1954)
Gouvernements nommés par Vincent Auriol, président de la République du 16 janvier 1947 au 16 janvier 1954.
Gouvernement Paul Ramadier (1) du 22 janvier 1947 au 21 octobre 1947.
Gouvernement Paul Ramadier (2) du 22 octobre 1947 au 19 novembre 1947.
Gouvernement Robert Schuman (1) du 24 novembre 1947 au 19 juillet 1948.
Gouvernement André Marie du 26 juillet 1948 au 27 août 1948.
Gouvernement Robert Schuman (2) du 5 septembre 1948 au 7 septembre 1948.
Gouvernement Henri Queuille (1) du 11 septembre 1948 au 5 octobre 1949.
Gouvernement Georges Bidault (2) du 28 octobre 1949 au 7 février 1950.
Gouvernement Georges Bidault (3) du 7 février 1950 au 24 juin 1950.
Gouvernement Henri Queuille (2) du 2 juillet 1950 au 4 juillet 1950.
Gouvernement René Pleven (1) du 12 juillet 1950 au 28 février 1951.
Gouvernement Henri Queuille (3) du 10 mars 1951 au 10 juillet 1951.
Gouvernement René Pleven (2) du 11 août 1951 au 7 janvier 1952.
Gouvernement Edgar Faure (1) du 20 janvier 1952 au 28 février 1952.
Gouvernement Antoine Pinay du 8 mars 1952 au 23 décembre 1952.
Gouvernement René Mayer du 8 janvier 1953 au 21 mai 1953.
Gouvernement Joseph Laniel (1) du 27 juin 1953 au 16 janvier 1954.
René Coty, président de la République (1954-1959):
Gouvernements nommés par René Coty, président de la République du 16 janvier 1954 au 8 janvier 1959 :
Gouvernement Joseph Laniel (2) du 16 janvier 1954 au 12 juin 1954 ;
Gouvernement Pierre Mendès France du 18 juin 1954 au 23 février 1955 ;
Gouvernement Edgar Faure (2) du 23 mars 1955 au 24 janvier 1956 ;
Gouvernement Guy Mollet du 31 janvier 1956 au 21 mai 1957 ;
Gouvernement Maurice Bourgès-Maunoury du 12 juin 1957 au 30 septembre 1957 ;
Gouvernement Félix Gaillard du 6 novembre 1957 au 15 avril 1958 ;
Gouvernement Pierre Pflimlin du 13 mai 1958 au 28 mai 1958 ;
Gouvernement Charles de Gaulle (3) du 1er juin 1958 au 8 janvier 1959.
Après la crise de mai 1958 et le putsch à Alger le 13 mai, le président René Coty nomme le Général de Gaulle président du Conseil. La Constitution votée le 28 septembre 1958 par référendum implique la cessation de ses fonctions dès la mise en place des nouvelles institutions.
Cinquième République:
Charles de Gaulle, président de la République (1959-1969):
Gouvernements nommés par Charles de Gaulle, président de la République du 8 janvier 1959 au 28 avril 1969 :
Premier mandat, du 8 janvier 1959 au 8 janvier 1966 :
Le chef du gouvernement porte désormais le titre de « Premier ministre », la présidence du Conseil des ministres étant assurée par le président de la République (alors que ses prédécesseurs n'y avaient qu'un rôle de figuration).
Gouvernement Michel Debré du 9 janvier 1959 au 14 avril 1962 ;
Gouvernement Georges Pompidou (1) du 14 avril 1962 au 7 décembre 1962 ;
Après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée nationale le 5 octobre 1962, le président de la République refusait la démission du gouvernement et dissolvait l'Assemblée. Une nouvelle majorité étant élue, le Premier ministre fut chargé de constituer un nouveau gouvernement, qui obtint la confiance de la nouvelle chambre :
Gouvernement Georges Pompidou (2) du 7 décembre 1962 au 8 janvier 1966.
Ce deuxième gouvernement Pompidou s'achève avec la fin du mandat de Charles de Gaulle, et après la réélection de ce dernier, le 19 décembre 1965.
Second mandat, du 8 janvier 1966 au 28 avril 1969 :
Gouvernement Georges Pompidou (3) du 8 janvier 1966 au 8 avril 1967 ;
Les élections législatives de mars 1967 sont remportées de justesse par la majorité sortante. Georges Pompidou est chargé de former un nouveau gouvernement :
Gouvernement Georges Pompidou (4) du 8 avril 1967 au 10 juillet 1968 ;
La crise de mai 1968 ébranle le régime. Elle devient politique et Charles de Gaulle dissout l'Assemblée nationale : les élections législatives sont largement remportées par l'UDR, le parti du Président et de la majorité sortante. Maurice Couve de Murville devient Premier ministre :
Gouvernement Maurice Couve de Murville du 10 juillet 1968 au 20 juin 19691 ;
Le président de Gaulle démissionne après le rejet, par référendum, d'une révision de la constitution (qui prévoyait notamment une transformation radicale du rôle du Sénat et du mode d'élection des sénateurs).
Alain Poher, président du Sénat, devient président de la République par intérim (du 28 avril 1969 au 20 juin 19691).
Georges Pompidou, président de la République (1969-1974)[modifier | modifier le code]
Gouvernements nommés par Georges Pompidou, président de la République du 20 juin 1969 au 2 avril 1974 :
Gouvernement Jacques Chaban-Delmas du 20 juin 1969 au 5 juillet 1972 ;
Gouvernement Pierre Messmer (1) du 6 juillet 1972 au 5 avril 1973 ;
Gouvernement Pierre Messmer (2) du 5 avril 1973 au 1er mars 1974 ;
Gouvernement Pierre Messmer (3) du 1er mars 1974 au 27 mai 1974.
Le président Pompidou meurt d'une longue maladie (maladie de Waldenström) avant la fin de son mandat.
Alain Poher, président du Sénat, devient président de la République par intérim pour la seconde fois (du 2 avril 1974 au 19 mai 19742).
Valéry Giscard d'Estaing, président de la République (1974-1981):
Gouvernements nommés par Valéry Giscard d'Estaing, président de la République du 19 mai 1974 au 19 mai 19813 :
Gouvernement Jacques Chirac (1) du 27 mai 1974 au 25 août 1976 ;
Gouvernement Raymond Barre (1) du 27 août 1976 au 29 mars 1977 ;
Gouvernement Raymond Barre (2) du 29 mars 1977 au 31 mars 1978 ;
Gouvernement Raymond Barre (3) du 31 mars 1978 au 13 mai 1981.
François Mitterrand, président de la République (1981-1995):
Gouvernements nommés par François Mitterrand, président de la République du 21 mai 1981 au 17 mai 1995 :
Premier mandat, du 21 mai 1981 au 21 mai 1988 :
Gouvernement Pierre Mauroy (1) du 22 mai 1981 au 23 juin 1981 ;
Gouvernement Pierre Mauroy (2) du 23 juin 1981 au 23 mars 1983 ;
Gouvernement Pierre Mauroy (3) du 23 mars 1983 au 17 juillet 1984 ;
Gouvernement Laurent Fabius du 17 juillet 1984 au 20 mars 1986 ;
Gouvernement Jacques Chirac (2) du 20 mars 1986 au 10 mai 1988 : période qualifiée de « Première cohabitation », s'achevant avec la réélection du président sortant, face au Premier ministre ;
Second mandat, du 21 mai 1988 au 17 mai 1995 :
Gouvernement Michel Rocard (1) du 10 mai 1988 au 22 juin 1988 ;
Gouvernement Michel Rocard (2) du 23 juin 1988 au 15 mai 1991 ;
Gouvernement Édith Cresson du 15 mai 1991 au 31 mars 1992 ;
Gouvernement Pierre Bérégovoy du 2 avril 1992 au 28 mars 1993 ;
Gouvernement Édouard Balladur du 29 mars 1993 au 16 mai 1995 : période qualifiée de « Deuxième cohabitation », s'achevant avec l'élection de Jacques Chirac à la présidence de la République.
Jacques Chirac, président de la République (1995-2007):
Gouvernements nommés par Jacques Chirac, président de la République du 17 mai 1995 au 16 mai 2007 :
Premier mandat, du 17 mai 1995 au 17 mai 2002 :
Gouvernement Alain Juppé (1) du 18 mai 1995 au 7 novembre 1995 ;
Gouvernement Alain Juppé (2) du 7 novembre 1995 au 2 juin 1997 ;
Gouvernement Lionel Jospin du 4 juin 1997 au 6 mai 2002 : période qualifiée de « Troisième cohabitation », s'achevant avec la défaite du Premier ministre dès le premier tour de l'élection présidentielle, puis la réélection du président de la République sortant au second tour le 5 mai 2002 ;
Second mandat, du 17 mai 2002 au 16 mai 2007 :
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (1) du 7 mai 2002 au 17 juin 2002 ;
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2) du 17 juin 2002 au 30 mars 2004 ;
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) du 30 mars 2004 au 31 mai 2005 ;
Gouvernement Dominique de Villepin du 31 mai 2005 au 15 mai 2007.
Nicolas Sarkozy, président de la République (2007-2012):
Gouvernements nommés par Nicolas Sarkozy, président de la République du 16 mai 2007 au 15 mai 2012 :
Gouvernement François Fillon (1) du 18 mai 2007 au 18 juin 2007 ;
Gouvernement François Fillon (2) du 19 juin 2007 au 13 novembre 2010 ;
Gouvernement François Fillon (3) du 14 novembre 2010 au 10 mai 2012.
François Hollande, président de la République (depuis 2012):
Gouvernements nommés par François Hollande, président de la République depuis le 15 mai 2012 :
Gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) du 15 mai 2012 au 18 juin 2012 ;
Gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) du 18 juin 2012 au 31 mars 2014 ;
Gouvernement Manuel Valls (1) du 31 mars 2014 au 25 août 2014 ;
Gouvernement Manuel Valls (2) depuis le 25 août 2014
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Re: Education Nationale
Nouveau classement Pisa : l’école française, cette élève «moyenne» qui ne progresse pas (le 03/12/19).
Les notes de la France sont stables… et ce n'est pas exactement une bonne nouvelle. L'école française produit toujours de très bons élèves, mais reste l'une des plus inégalitaires au monde. C'est ce qui ressort du dernier bulletin mondial des systèmes scolaires de la planète, publié ce mardi 3 décembre : le fameux classement « Pisa ».
Véritable baromètre des politiques éducatives, le « programme international de l'OCDE pour le suivi des acquis des élèves » mesure tous les trois ans depuis 2000 le niveau des jeunes de 15 ans à travers le globe. Pour cette édition Pisa 2018, plus de 600 000 élèves dans 79 pays ont passé des tests mesurant leurs performances en lecture et écriture (thème majeur de cette édition), en mathématiques ainsi qu'en sciences. Il a fallu un an aux analystes pour trier et synthétiser les résultats, rassemblés en trois épais volumes.
La France légèrement au-dessus de la moyenne
En France, un échantillon représentatif de 6300 jeunes a réalisé les exercices. Leur note? Un score moyen de 493 points, légèrement au-dessus de la moyenne des pays de l'OCDE. Les écarts de performance étant parfois faibles, d'un pays à l'autre, l'organisation internationale n'établit pas un classement à proprement parler, mais constitue plutôt des groupes de pays aux résultats similaires. Ainsi, elle situe les jeunes Français entre la 15e et la 21e place des pays de l'OCDE, « au même niveau que l'Allemagne, la Belgique, le Portugal, la République tchèque et la Slovénie ».
Depuis la première édition de Pisa en 2000, le niveau des jeunes en lecture et en écriture n'a pas plongé : il est resté stable. « Nous avons une place honorable, mais le gros point noir reste les inégalités sociales devant la performance », résume Eric Charbonnier, analyste à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) spécialiste de l'éducation. En la matière, le Royaume-Uni, assez comparable à la France en matière de population, fait nettement mieux, avec 504 points.
Championne des inégalités, encore et toujours
En France, l'écart de résultat entre les élèves issus d'un milieu favorisé et ceux issus de classes sociales défavorisées est de 107. C'est considérable, et très nettement au-dessus de la différence observée en moyenne dans les autres pays (87 points). Comme si les élèves français étaient coupés en deux planètes. Comme s'ils n'appartenaient, en fin de compte, pas au même système scolaire.
« Les élèves défavorisés ont cinq fois plus de risque de se retrouver en difficulté que les autres, en compréhension de l'écrit », relève Pauline Givord, analyste à l'OCDE qui a codirigé une partie de l'enquête Pisa. Plus inquiétant encore : les jeunes issus de milieux populaires nourrissent peu d'ambitions d'études post-bac, même quand ils sont bons élèves.
Au chapitre des inégalités, il n'y a qu'en Israël et au Luxembourg que les écarts sont encore plus élevés qu'en France. Ce constat alarmant n'est pas nouveau : le creusement des inégalités en France s'est observé entre 2003 et 2012 sans produire de choc significatif dans les politiques publiques. Cependant, « des efforts ont été faits depuis 2012, constate Eric Charbonnier de l'OCDE. Mais il est encore trop tôt pour en mesurer les effets. » Les premiers élèves à avoir bénéficié de la priorité accordée au primaire, et à la création de nouveaux postes d'enseignants, sous le quinquennat de François Hollande, ne seront en effet testés par Pisa que lorsqu'ils seront devenus lycéens… pour l'édition 2024.
Trop d'indiscipline en classe
Ce sont les jeunes eux-mêmes qui l'affirment, corroborant un constat déjà dressé par leurs enseignants : il y a trop de bruit dans les salles de classe. Un jeune de 15 ans sur deux déclare qu'il y a du chahut ou du désordre dans la plupart des cours, et un quart dans tous les cours! Un niveau inquiétant qui place l'Hexagone très bas dans le tableau des élèves sages. « Il n'y a qu'en Argentine et au Brésil où l'indice du climat de discipline est inférieur à la moyenne observée en France », indique l'étude de l'OCDE.
Le phénomène pénalise surtout les élèves déjà les plus fragiles, puisqu'il s'observe majoritairement dans les établissements les plus en difficulté. Comment le résorber ? En améliorant la formation des enseignants français sur la gestion de classe, répondent les analystes de l'OCDE. Un conseil qui vaut pour la discipline comme pour le niveau en écriture, en maths ou en sciences.
D'une manière générale, « les pays les plus performants de Pisa sont ceux qui investissent massivement dans la revalorisation du métier d'enseignant, et dans la formation », observe Eric Charbonnier.
le Parisien
Les notes de la France sont stables… et ce n'est pas exactement une bonne nouvelle. L'école française produit toujours de très bons élèves, mais reste l'une des plus inégalitaires au monde. C'est ce qui ressort du dernier bulletin mondial des systèmes scolaires de la planète, publié ce mardi 3 décembre : le fameux classement « Pisa ».
Véritable baromètre des politiques éducatives, le « programme international de l'OCDE pour le suivi des acquis des élèves » mesure tous les trois ans depuis 2000 le niveau des jeunes de 15 ans à travers le globe. Pour cette édition Pisa 2018, plus de 600 000 élèves dans 79 pays ont passé des tests mesurant leurs performances en lecture et écriture (thème majeur de cette édition), en mathématiques ainsi qu'en sciences. Il a fallu un an aux analystes pour trier et synthétiser les résultats, rassemblés en trois épais volumes.
La France légèrement au-dessus de la moyenne
En France, un échantillon représentatif de 6300 jeunes a réalisé les exercices. Leur note? Un score moyen de 493 points, légèrement au-dessus de la moyenne des pays de l'OCDE. Les écarts de performance étant parfois faibles, d'un pays à l'autre, l'organisation internationale n'établit pas un classement à proprement parler, mais constitue plutôt des groupes de pays aux résultats similaires. Ainsi, elle situe les jeunes Français entre la 15e et la 21e place des pays de l'OCDE, « au même niveau que l'Allemagne, la Belgique, le Portugal, la République tchèque et la Slovénie ».
Depuis la première édition de Pisa en 2000, le niveau des jeunes en lecture et en écriture n'a pas plongé : il est resté stable. « Nous avons une place honorable, mais le gros point noir reste les inégalités sociales devant la performance », résume Eric Charbonnier, analyste à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) spécialiste de l'éducation. En la matière, le Royaume-Uni, assez comparable à la France en matière de population, fait nettement mieux, avec 504 points.
Championne des inégalités, encore et toujours
En France, l'écart de résultat entre les élèves issus d'un milieu favorisé et ceux issus de classes sociales défavorisées est de 107. C'est considérable, et très nettement au-dessus de la différence observée en moyenne dans les autres pays (87 points). Comme si les élèves français étaient coupés en deux planètes. Comme s'ils n'appartenaient, en fin de compte, pas au même système scolaire.
« Les élèves défavorisés ont cinq fois plus de risque de se retrouver en difficulté que les autres, en compréhension de l'écrit », relève Pauline Givord, analyste à l'OCDE qui a codirigé une partie de l'enquête Pisa. Plus inquiétant encore : les jeunes issus de milieux populaires nourrissent peu d'ambitions d'études post-bac, même quand ils sont bons élèves.
Au chapitre des inégalités, il n'y a qu'en Israël et au Luxembourg que les écarts sont encore plus élevés qu'en France. Ce constat alarmant n'est pas nouveau : le creusement des inégalités en France s'est observé entre 2003 et 2012 sans produire de choc significatif dans les politiques publiques. Cependant, « des efforts ont été faits depuis 2012, constate Eric Charbonnier de l'OCDE. Mais il est encore trop tôt pour en mesurer les effets. » Les premiers élèves à avoir bénéficié de la priorité accordée au primaire, et à la création de nouveaux postes d'enseignants, sous le quinquennat de François Hollande, ne seront en effet testés par Pisa que lorsqu'ils seront devenus lycéens… pour l'édition 2024.
Trop d'indiscipline en classe
Ce sont les jeunes eux-mêmes qui l'affirment, corroborant un constat déjà dressé par leurs enseignants : il y a trop de bruit dans les salles de classe. Un jeune de 15 ans sur deux déclare qu'il y a du chahut ou du désordre dans la plupart des cours, et un quart dans tous les cours! Un niveau inquiétant qui place l'Hexagone très bas dans le tableau des élèves sages. « Il n'y a qu'en Argentine et au Brésil où l'indice du climat de discipline est inférieur à la moyenne observée en France », indique l'étude de l'OCDE.
Le phénomène pénalise surtout les élèves déjà les plus fragiles, puisqu'il s'observe majoritairement dans les établissements les plus en difficulté. Comment le résorber ? En améliorant la formation des enseignants français sur la gestion de classe, répondent les analystes de l'OCDE. Un conseil qui vaut pour la discipline comme pour le niveau en écriture, en maths ou en sciences.
D'une manière générale, « les pays les plus performants de Pisa sont ceux qui investissent massivement dans la revalorisation du métier d'enseignant, et dans la formation », observe Eric Charbonnier.
le Parisien
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